Il n’y avait qu’un seul, un objet de terreur,
Travail ton endurance, met un max de distance,
Sinon laisse toi glisser, vers cette obscurité,
Qui ne t’oubliera pas, à Paris ou Hawaï,
Garde les poches pleines, ou tu seras en hyènes,
A chercher du gibier, à manger des herbiers.
Bref apprend à grimper, à voir ta destinée,
Devenir un bouddha, n’est pas qu’un plat sur cartes.
C’est une question de choix, de respecter la loi.
On peut tous être heureux, il suffit d’être pieux.
Voir que le plus est moins, que l’abondance n’est rien,
Qu’un dérapage de vie, qu’une bruyante musique,
Qu’une digestion sans fin, qu’une lumière aux confins,
Dépose un carton rouge, sur ce qui te rend mou,
Abandonne les espoirs, qui tournent autour de toi,
Vois au-delà du lac, il n’y a pas que tes dunes,
Vole du haut de ton toit, au lieu d’y lire que noir.
Retombe sur les couleurs, qui ravivent les peurs,
Les rendants immortels, dans ta fierté céleste,
Peint toutes tes insomnies, de prose poétiques,
Utilise ta machine, pour construire la justice,
Penses à chaque injustice, et ris de ces supplices,
Ceux issu de ton cœur, qui aime la douleur,
Tel un bodybuilder, qui veut être le meilleur,
Le parfait est un mythe, comme un heureux lundi,
Travail sur ces souffrances, apprécie les latences,
Qui te laissent percevoir, les beautés du couloir,
Le vide est un ami, le néant est complice.
Le bonheur est nulle part, range ta loupe pour l’avoir.
La paix porte de la soie, qui s’envole à chaque pat,
Assis toi et attends, chaque moment présent.