Sonnet. A pleine voix– midi s’exaltant au… Et les champs reposant– les nones… Dans un balancement de phrases rép… Et hantantes, comme un rappel de g…

Au temps où longuement j’avais sou… Où les heures m’étaient des pièges… Tu m’apparus l’accueillante lumièr… Qui luit aux fenêtres, l’hiver, Au fond des soirs, sur de la neige…

Dans la maison où notre amour a vo… Avec les meubles chers peuplant l’… Où nous vivons à deux, ayant pour… Les roses qui nous regardent par l… Il est des jours choisis, d’un si…

On m’affirmait : “ Partout où les cités de vapeurs… Où l’homme dans l’effort s’exalte… Bat le coeur fraternel d’une plus… De la Sambre à la Ruhr, de la Ru…

Sonnet. Le choeur, alors qu’il est sombre… Et qu’un recueillement sur les cho… Conserve encor dans l’air que l’en… Comme un frisson épars des hymnes…

Tout seul, Que le berce l’été, que l’agite l’… Que son tronc soit givré ou son br… Toujours, au long des jours de ten… Il impose sa vie énorme et souvera…

Sois ton bourreau toi-même ; N’abandonne le soin de te martyris… A personne, jamais. Donne ton seu… Au désespoir ; déchaîne en toi l’â… Force ton âme, éreinte-la contre l…

Pour vivre clair, ferme et juste, Avec mon coeur, j’admire tout Ce qui vibre, travaille et bout Dans la tendresse humaine et sur l… L’hiver s’en va et voici mars et p…

J’ai regardé, par la lucarne ouver… D’un phare abandonné que flagellai… Des trains tumultueux, sous des tu… Sifflaient, toisés de loin par des… Le port, immensément hérissé de gr…

Ardeur des sens, ardeur des coeurs… Vains mots créés par ceux qui dimi… Soleil, tu ne distingues pas d’ent… Celles du soir, de l’aube ou du mi… Tu marches aveuglé par ta propre l…

Avec mes sens, avec mon coeur et m… Avec mon être entier tendu comme u… Vers ta bonté et vers ta charité Sans cesse inassouvies, Je t’aime et te louange et je te r…

Lassé des mots, lassé des livres, Qui tiédissent la volonté, Je cherche, au fond de ma fierté, L’acte qui sauve et qui délivre. La vie, elle est là-bas, violente…

Frère Jacques, frère Jacques, Réveille-toi de ton sommeil d’hive… Les fins taillis sont déjà verts Et nous voici au temps de Pâques, Frère Jacques.

L’âme et le coeur si las des jours… Si las de rien, si las de tout, l’… Quand je suis seul, le soir, souda… Je sens pleurer sur moi l’oeil bla… Celui, si triste hélas ! qui s’en…

Au clos de notre amour, l’été se c… Un paon d’or, là-bas, traverse une… Des pétales pavoisent —Perles, émeraudes, turquoises— L’uniforme sommeil des gazons vert…