Le coffret de santal (1873)
#ÉcrivainsFrançais
Fiers sur nos chevaux, tribu souve… Poussons devant nous les troupeaux… Les bœufs mugissants. Que chacun… Enlacée à lui de ses beaux bras bl… L’amoureuse. Car la halte est pro…
Sonnet. Les coquelicots noirs et les bleue… Dans le foin capiteux qui réjouit… La lettre jaunie où mon aïeul resp… À mon aïeule fit des serments sura…
À Guy. Il était un grand mur blanc ? nu,… Contre le mur une échelle ? haute,… Et, par terre, un hareng saur ? se… Il vient, tenant dans ses mains ?…
Sonnet. Je sais faire des vers perpétuels.… Sont ravis à ma voix qui dit la vé… La suprême raison dont j’ai, fier,… Ne se payerait pas avec toutes les…
Sonnet. C’était un vrai petit voyou, Elle venait on ne sait d’où, Moi, je l’aimais comme une bête. Oh ! la jeunesse, quelle fête.
Nul ne l’a vue et, dans mon cœur, Je garde sa beauté suprême ; (Arrière tout rire moqueur !) Et morte, je l’aime, je l’aime. J’ai consulté tous les devins,
À Émile Wroblewski. Apportez-moi des fleurs odorantes, Pour me parer, compagnes errantes, Pour te charmer, ô mon bien-aimé. Déjà le vent s’élève embaumé.
Né dans quelque trou malsain D’Auvergne ou du Limousin, Il bêche d’abord la terre. Humble, sans désir, sans but ; C’est le modeste début
Comme en un préau d’hôpital de fou… Le monde anxieux s’empresse et s’a… Autour de mes yeux, poursuivant au… Le rêve que j’ai quand je pense à… Mais n’en pouvant plus, pourtant,…
Toutes les fois, miroir, que tu lu… À se mettre du noir aux yeux ou su… La poudre parfumée, ou bien dans u… Charmante, son carmin aux lèvres,… « Je dormais reflétant les vers, q…
Comme bercée en un hamac La pensée oscille et tournoie, À cette heure où tout estomac Dans un flot d’absinthe se noie. Et l’absinthe pénètre l’air,
Alors que finissait la journée est… Nous marchions, toi pendue à mon b… À ces mondes lointains dont je par… Aussi regardais-tu chaque étoile e… Au retour, à l’endroit où la côte…
À Théodore de Banville. Tête penchée, Œil battu, Ainsi couchée Qu’attends-tu ?
Il a tout fait, tous les métiers.… Se passe loin du bruit, loin des c… Et des ambitions vaines du bouleva… Pour ce jour attendu, qui s’annonc… Les savants ont prédit, avant l’he…
J’ai balayé tout le pays En une fière cavalcade ; Partout les gens se sont soumis, Ils viennent me chanter l’aubade. Ce cérémonial est fade ;