#XIXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
La sottise, l’erreur, le péché, la… Occupent nos esprits et travaillen… Et nous alimentons nos aimables re… Comme les mendiants nourrissent le… Nos péchés sont têtus, nos repenti…
Que j’aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde
J’aime le souvenir de ces époques… Dont Phoebus se plaisait à dorer… Alors l’homme et la femme en leur… Jouissaient sans mensonge et sans… Et, le ciel amoureux leur caressan…
Deux guerriers ont couru l’un sur… Ont éclaboussé l’air de lueurs et… Ces jeux, ces cliquetis du fer son… D’une jeunesse en proie à l’amour… Les glaives sont brisés ! comme no…
Au poète impeccable Au parfait magicien ès lettres fra… A mon très-cher et très-vénéré Maître et ami Théophile Gautier
Bizarre déité, brune comme les nui… Au parfum mélangé de musc et de ha… Oeuvre de quelque obi, le Faust d… Sorcière au flanc d’ébène, enfant… Je préfère au constance, à l’opium…
Mère des souvenirs, maîtresse des… Ô toi, tous mes plaisirs ! ô toi,… Tu te rappelleras la beauté des ca… La douceur du foyer et le charme d… Mère des souvenirs, maîtresse des…
Je n’ai pas oublié, voisine de la… Notre blanche maison, petite mais… Sa Pomone de plâtre et sa vieille… Dans un bosquet chétif cachant leu… Et le soleil, le soir, ruisselant…
Mère des jeux latins et des volupt… Lesbos, où les baisers, languissan… Chauds comme les soleils, frais co… Font l’ornement des nuits et des j… Mère des jeux latins et des volupt…
Ta tête, ton geste, ton air Sont beaux comme un beau paysage ; Le rire joue en ton visage Comme un vent frais dans un ciel c… Le passant chagrin que tu frôles
Ô toison, moutonnant jusque sur l’… Ô boucles ! Ô parfum chargé de non… Extase ! Pour peupler ce soir l’a… Des souvenirs dormant dans cette c… Je la veux agiter dans l’air comme…
Les amoureux fervents et les savan… Aiment également, dans leur mûre s… Les chats puissants et doux, orgue… Qui comme eux sont frileux et comm… Amis de la science et de la volupt…
Quand je te vois passer, ô ma chèr… Au chant des instruments qui se br… Suspendant ton allure harmonieuse… Et promenant l’ennui de ton regard… Quand je contemple, aux feux du ga…
De ce terrible paysage, Tel que jamais mortel n’en vit, Ce matin encore l’image, Vague et lointaine, me ravit. Le sommeil est plein de miracles !
Il me dit qu’il était très riche, Mais qu’il craignait le choléra ; —Que de son or il était chiche, Mais qu’il goûtait fort l’Opéra ; —Qu’il raffolait de la nature,