Antoine Argaud

Amour déchu

Amour déchu
 
Ha ! Amour de ma jeune vie !
Toi dont j’ai tant sourit,
Je te voyais tous les jours,
Pleine de joie et de dynamisme comme toujours.
Pour toi je n’osais jamais dire quelque mot,
Pour toi, mon amour m’affligait des maux,
Du mal dans mon coeur, qui pour toi,
Brûlait d’amour vrai, que j’avais en moi.
Tu ne voyais pas la peine qui en moi, sévissait.
Et à chaque instant je pensais à toi et je souffrais.
Cet amour impossible me rendait triste, je pleurais,
Tout les jours ma mélancolie s’agrandissait,
A chaque instant je sentais mon coeur fragilisé.
Tu ne devinais pas la pénible souffrance,
Qu’en moi je supportais tous les jours en permanence.
C’étais une dure souffrance que je contenais dans mon coeur,
Mon coeur, qui était accablé par tant de malheur.
Je ne t’abandonne pas, même si tu ne me jette aucun regard,
Je pleure, de toi je me force à faire un écart,
Qui est pour moi le plus dur des sorts,
Ha ! pourtant chaque jour pour toi je fais des efforts,
J’essaye en vain de te montrer l’amour que j’éprouve pour toi,
Mais à chaque fois cette amour que tu ne devines pas,
Me rend à chaque instant plus triste et je me sens davantage abattu ;
Je t’aime mais tu ne le sais pas, pour toi mes larmes sont répandues.
Hélas je serais à jamais triste et solitaire,
Et je ne cesserais de verser des larmes à terre...
 
 
23.08.2007

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