Poésies nouvelles (1850)
#ÉcrivainsFrançais
Sonnet. Ô Rhin, sais-tu pourquoi les amant… Abandonnant leur âme aux tendres r… Par tes bois verdoyants, par tes l… S’en vont par leur folie incessamm…
Rondeau. Dans son assiette arrondi mollemen… Un pâté chaud, d’un aspect délecta… D’un peu trop loin m’attirait douc… J’allais à lui. Votre instinct ch…
Je méditais, courbé sur un volume… Les dogmes de Platon et les lois… Je voulus de la vie essayer le far… Aussi bien, j’étais las des loisir… Et j’entrai, sur les pas de la bel…
À Madame ***. Il est donc vrai, vous vous plaign… Vous dont l’oeil noir, gai comme u… Du monde entier pourrait chasser l… Combien donc pesait le souci
(Vergiss mein nicht) (Paroles faites sur la musique de… Rappelle-toi, quand l’Aurore crai… Ouvre au Soleil son palais enchan… Rappelle-toi, lorsque la nuit pens…
L’empereur vit, un soir, le soleil… Il courba son front triste, et res… Puis, comme il entendit ses horlog… Qu’il venait d’accorder, d’un pied… Il pensa qu’autrefois, sans avoir…
(En réponse à la question : Qu’es… Chasser tout souvenir et fixer sa… Sur un bel axe d’or la tenir balan… Incertaine, inquiète, immobile pou… Peut-être éterniser le rêve d’un i…
Que me veux-tu, chère fleurette, Aimable et charmant souvenir ? Demi-morte et demi-coquette, Jusqu’à moi qui te fait venir ? Sous ce cachet enveloppée,
On me demande, par les rues, Pourquoi je vais bayant aux grues, Fumant mon cigare au soleil, À quoi se passe ma jeunesse, Et depuis trois ans de paresse
On dit : “ Triste comme la porte D’une prison. ” Et je crois, le diable m’emporte ! Qu’on a raison. D’abord, pour ce qui me regarde,
Madrid, princesse des Espagnes, Il court par tes mille campagnes Bien des yeux bleus, bien des yeux… La blanche ville aux sérénades, Il passe par tes promenades
Sonnet. Non, quand bien même une amère sou… Dans ce cœur mort pourrait se rani… Non, quand bien même une fleur d’e… Sur mon chemin pourrait encor germ…
(Fragment) Ni ce moine rêveur, ni ce vieux ch… N’ont deviné pourquoi Mariette es… Elle est frappée au cœur, la belle… Voilà son mal,—elle aime.—Il est…
Ô ciel ! je vous revois, madame, De tous les amours de mon âme Vous le plus tendre et le premier. Vous souvient-il de notre histoire… Moi, j’en ai gardé la mémoire :
Il faudra bien t’y faire à cette s… Pauvre coeur insensé, tout prêt à… Qui sait si mal aimer et sait si b… Il faudra bien t’y faire ; et sois… La veille et le travail ne pourron…