Mars préside aux travaux de la jeu… À peine l’aube errante au bord de… Teinte de pâle argent la mare soli… Le laboureur, fidèle ouvrier de la… Penché sur la charrue, ouvre d’un…

Sonnet. Calmes aux quais déserts s’endorme… Les besognes du jour rude sont ter… Et le bleu Crépuscule aux mains e… Éteint le fleuve ardent qui roulai…

Damœtas le poète et Methymne le s… Dans l’agreste douceur d’un calme… Où brille une eau courante, où pai… Assis près de la ruche, alternent… Methymne gravement dit l’essence d…

Sonnet. Octobre est doux.—L’hiver pèlerin… Au ciel où la dernière hirondelle… Rêvons... le feu s’allume et la bi… Rêvons... le feu s’endort sous sa…

Ce soir, ta chair malade a des lan… Entre tes doigts fiévreux meurent… Ce soir, l’orage couve, et l’odeur… Fait pâlir par instants tes lèvres… Les yeux plongeant au fond des cam…

Le troupeau maigre épars aux roche… Broute le noir genièvre et la ment… Au large la mer luit comme un méta… Soudain le bouc lascif se dresse e… Sur la chèvre efflanquée à l’échin…

Sur la petite place, au lever de l… Le marché rit joyeux, bruyant, mul… Pêle-mêle étalant sur ses tréteaux… Ses fromages, ses fruits, son miel… Et, sur la dalle où coule une eau…

Oh ! Écoute la symphonie ; Rien n’est doux comme une agonie Dans la musique indéfinie Qu’exhale un lointain vaporeux ; D’une langueur la nuit s’enivre,

L’âme d’une flûte soupire Au fond du pare mélodieux ; Limpide est l’ombre où l’on respir… Ton poème silencieux, Nuit de langueur, nuit de mensonge…

—Naïs, je ne vois plus la couleur… —Lydé, je ne vois plus les cygnes… —Naïs, n’entends-tu pas la flûte d… —Lydé, ne sens-tu pas l’odeur des… —D’où vient qu’en moi, Naïs, mont…

Et ce soir-là, je ne sais, Ma douce, à quoi tu pensais, Toute triste, Et voilée en ta pâleur, Au bord de l’étang couleur

Sa robe était de tulle avec des ro… Et rose pâle était sa lèvre, et se… Froids et bleus comme l’eau qui rê… La mer Tyrrhénienne aux langueurs… Berçait sa vie éparse en suaves pé…

Assis au bord du lac où baignent l… Amphise et Melitta, depuis qu’ils… Immobiles, les doigts unis les lèv… S’enivrent du beau soir d’or limpi… Et remplissent leur âme à la splen…

Mon cœur est un beau lac solitaire… Hanté d’oiseaux furtifs et de rame… Où le vol argenté des sylphes bleu… En un soir diaphane où défaillent… La lune y fait rêver ses pâleurs i…

L’heure comme nous rêve accoudée a… Penchés vers l’occident, nous lais… Sur le port et la ville, où le peu… Comme de grands oiseaux tourner au… Des bassins qu’en fuyant la mer à…