Au jardin de l’infante (1893)
#ÉcrivainsFrançais
Et ce soir-là, je ne sais, Ma douce, à quoi tu pensais, Toute triste, Et voilée en ta pâleur, Au bord de l’étang couleur
Sonnet. Pâle comme un matin de septembre e… Elle avait la douceur magnétique d… Tout s’apaisait près d’elle en un… Comme le bruit des pas s’étouffe d…
En printemps, quand le blond vitri… Nettoie à neuf la vitre éclatante… Quand aux carrefours noirs qu’écla… En monceaux odorants croulent les… Et le lilas tremblant, frileux enc…
Sonnet. Partout la mer unique étreint l’ho… L’horizon désastreux où la vieille… Au pied du mât penchant l’Espéran… Croisant ses bras transis sur son…
L’amour, dont l’autre nom sur terr… De ton sein fit jaillir une source… Et ta voix était triste et ton âme… Et de toi la pitié divine eût fait… Ivresse ou désespoir, enthousiasme…
Palès fait gazouiller la flûte sou… Mélène sous sa lèvre anime le haut… Et chacun à son tour que la lutte… Module un chant qui monte au fond… Hermione aux longs yeux de longs c…
Ô femme, chair tragique, exquiséme… Femme, notre mépris sublime et not… Ô monstre de douceur, et cavale de… Qui galopes plus vite encor que la… Femme, qui nous attends dans l’omb…
Ma fille, laisse là ton aiguille e… Le maître va rentrer ; sur la tabl… Avec la nappe neuve aux plis étinc… Mets la faïence claire et les verr… Dans la coupe arrondie à l’anse en…
Sur le vieux banc qu’ombrage un ve… Clydie aux bandeaux purs, Clydie… Dévide, pour broder des oiseaux et… Un écheveau de soie aux brillantes… Devant elle Palès tient, comme el…
Mon cœur dans le silence a soudain… Comme une onde que trouble une bri… Puis la paix des beaux soirs douce… Et c’est un calme ciel qu’à présen… En tendant vers tes yeux mon désir…
Mon Âme est une infante en robe de… Dont l’exil se reflète, éternel et… Aux grands miroirs déserts d’un vi… Ainsi qu’une galère oubliée en la… Aux pieds de son fauteuil, allongé…
Myrtil et Palémone, enfants chers… Se poursuivent dans l’herbe épaiss… Et font fuir devant eux, en de bru… La file solennelle et stupide des… Or Myrtil a vaincu Palémone en se…
Dans la lente douceur d’un soir de… La ville haletante exhale ses fumé… Frère de nonchaloir, le fleuve aux… Roule un flot de légende au pied d… Le peuple, regagnant sans hâte sa…
L’âme d’une flûte soupire Au fond du pare mélodieux ; Limpide est l’ombre où l’on respir… Ton poème silencieux, Nuit de langueur, nuit de mensonge…
Sonnet. Octobre est doux.—L’hiver pèlerin… Au ciel où la dernière hirondelle… Rêvons... le feu s’allume et la bi… Rêvons... le feu s’endort sous sa…