#ÉcrivainsMartiniquais
Un morceau de lumière qui descend… Femme le temps qu’il fait le temps… tu es le passage aussi d’oiseaux m… d’un autre monde s’insinuant Femme
Je t’emmerde geôlier la fièvre avec aux dents le poigna… avec aux dents la parole des torre… la fièvre cheval de race doux fauc… de son palanquin me précède
La mise en train ne se fait pas au… Elle reste empêtrée dans le commen… Et son ordinaire accoutrement de b… La collusion du silence s’est char… C’est un peuple de cris sous le ta…
il n’est pas question de livrer le… la vie-mort la mort-vie les souffleteurs de cr… été de nuit escamotés pour le rest… des chevaux qui n’ont laissé sur l…
Blason de coups sur le corps brisé… matin premier des neiges aujourd’hui très informe quand tou… nuits Paul
Il ne chercha pas d’alibi au contraire il scrutait le paysage où s’incrus… épouseur du lieu que l’érosion l’érode
Et sans qu’elle ait daigné séduire… à son corsage s’est délité un bouq… à ses oreilles ont germé des bourg… elle me parle une langue si douce… comprends pas mais à la longue je…
les combinaisons les plus variées… à la version d’un venin de feu ou… à la vermine des métaux l’avenir étant toujours scellé aux… et du cachet des cendres
cré nom de Dieu ils ont assuré l’univers et t… statues des jardins les amours per… qui n’ait arrêté ses nuages à jama… Fixe c’est d’ailleurs le commandem…
je croise mon squelette qu’une faveur de fourmis manians p… (tronc de baobab ou contrefort de… il va sans dire que j’ai eu soin d… elle s’est blottie au cœur d’un ni…
Angoisse tu ne descendras pas tes… Peur dans l’écheveau fou je n’aura… en tremblant le fil rouge de mon sang de ma rai… le dur secret de mon corps de l’or…
A grignoter un levant à replier un couchant Les animaux se seront enfuis emportant hors de la ville sa dernière clé de chaleur.
toujours, pas tant vif que beau, l… je vois, descendant les marches de… elles s’étonnent à bon droit que l… s’est édifiés un peu partout quant au
j’habite une blessure sacrée j’habite des ancêtres imaginaires j’habite un vouloir obscur j’habite un long silence j’habite une soif irrémédiable
De vrai l’agiot des oiseaux du par… des vents et quand j’ouvre la cage… quand je dégante mes éperviers nic… dans une détente de prunelles là o… accomplit sans bruit le haut mirac…