#ÉcrivainsMartiniquais
Le bouclier des mollusques les mandibules des fourmis les grands jeux du mimétisme à jet… phasmes et des pharaons la dialectique du cuivre
j’ai de ma salive étroite tenu liq… l’empêchant de se perdre aux squam… j’ai chevauché sur des mers incert… les dauphins mémorants inattentif à tout
Dirait-on pas bombardé d’un sang d… bel arbre nu en déjà l’invincible départ vers o… splendeur et de villes l’invincible et spaci…
Facile prolongement de la déglutit… quelle nouvelle fraternelle leurs… Penche penche sur l’abîme sur le v… mais même en plein ciel je retrouv… hurle frappe le rocher et la terre…
N’apaisons pas le jour et sortons… le guet-apens s’ouvre le long d’un… ne fais pas attention aux chenille… à délivrer l’espace où se hérissen… Rêve n’apaisons pas
De toutes leurs forces le soleil e… ne crains rien apprête tes grosses… ils ont mis de la boue sur mes yeu… et vois je vois terriblement je vo… de toutes les montagnes de toutes…
Tout insecte compté (le métal de l… menstrue de cendre bond lent d’un four tendant sa sur… pris au piège dessèche tout litige… au bout de l’œil la gueule sous le…
ô lances de nos corps de vin pur vers la femme d’eau passée de l’au… aux sylves des nèfles amollies ^ davier des lymphes mères nourrissant d’amandes douces d’heu…
Tu n’es pas un toit. Tu ne supportes pas de couvreurs. Tu n’es pas une tombe. Tu ignores tout silo dont tu n’écl… Tu n’es pas une paix.
j’habite une blessure sacrée j’habite des ancêtres imaginaires j’habite un vouloir obscur j’habite un long silence j’habite une soif irrémédiable
A grignoter un levant à replier un couchant Les animaux se seront enfuis emportant hors de la ville sa dernière clé de chaleur.
le mot est père des saints le mot est mère des saints avec le mot couresse on peut trave… peuplé de caïmans il m’arrive de dessiner un mot sur…
Sans doute est-il absurde de salue… océan restée debout à la verticale parmi… et dont le cœur à chaque battement… un délire vrai de lianes.
nous savoir dans la pluie dans les cendres dan… nous savoir qui rêvâmes sans chiff… rué par monts et vaux nous savoir ce cœur lourd
De vrai l’agiot des oiseaux du par… des vents et quand j’ouvre la cage… quand je dégante mes éperviers nic… dans une détente de prunelles là o… accomplit sans bruit le haut mirac…