#ÉcrivainsMartiniquais
cré nom de Dieu ils ont assuré l’univers et t… statues des jardins les amours per… qui n’ait arrêté ses nuages à jama… Fixe c’est d’ailleurs le commandem…
Séduisant du festin de mon foie ô Soleil ta réticence d’oiseau, écorché, ro… L’âpre lutte nous enseigna nos rus… mordant l’argile, pétrissant le so…
Les rêves échoués desséchés font a… rivières de formidables tas d’ossements mue… les espoirs trop rapides rampent s… en serpents apprivoisés
il faut savoir traverser toute l’é… il faut savoir traverser toute l’é… à briser il faut savoir traverser le défilé… avec pour contrebande le reflet du…
à Jacqueline Leiner rumeur de remugle de mangles de coques dé…
ma face de monnaie très usée brusq… dans tes fouilles ta face brusquée de bête des eaux… l’une contre l’autre par évents et… soufflant
à René Depestre C’est une nuit de Seine
toute chose plus belle la chancellerie du feu la chancell… une grande culbute de promontoires et d’étoiles une montagne qui se délite en
(la nécessité de la spéciation n’étant acceptée que dans la mesur… où elle légitime les plus audacieu… et que dure chaque meurtrissure pa… mais ne pas dépasser les mémoires…
j’habite une blessure sacrée j’habite des ancêtres imaginaires j’habite un vouloir obscur j’habite un long silence j’habite une soif irrémédiable
Dernier râle du mourant dans le de… pope A Changhaï ramassons les enfants off… pestilences touffues qui montent d…
petit cheval hors du temps enfui bravant les lès du vent et la vagu… petit cheval dos cambré que salpêtre le vent tê… sans mémoire débris de fin de cour…
les baisers des météorites le féroce dépoitraillement des vol… de jeux d’aigle la poussée des sous-continents arc… la montagne qui descend ses cavalc…
Et merde comme aucune la mer sans… d’écoute sans pare-éclats sans boy… fer de la nuit si céphalopode ex-v… son sein mon gueuloir d’Antille ve… corymbe des jours corymbe des nuit…
reprenons l’utile chemin patient plus bas que les racines le chemin… parler c’est accompagner la graine…