N’apaisons pas le jour et sortons la face nue face aux pays inconnus qui coupent aux oiseaux leur sifflet
le guet-apens s’ouvre le long d’un bruit de confins de planètes.
ne fais pas attention aux chenilles qui tissent souple mais seulement aux millibars qui se plantent dans le mille d’un orage
à délivrer l’espace où se hérissent le coeur des choses et la venue de l’homme
Rêve n’apaisons pas
parmi les clous de chevaux fous
un bruit de larmes qui tâtonne vers l’aile immense des
paupières