#ÉcrivainsMartiniquais
Séduisant du festin de mon foie ô Soleil ta réticence d’oiseau, écorché, ro… L’âpre lutte nous enseigna nos rus… mordant l’argile, pétrissant le so…
mon peuple quand hors des jours étrangers germeras-tu une tête bien tienne s… et ta parole
Et si j’avais besoin de moi d’un vrai sommeil blond de même qu’un éveil d’une ville s’évadant dans la jungle ou le sable flairée nocturne flairée
Alors tout doucement la terre se p… l’endroit des circonvolutions, pui… cavaliers et les maisons. Et cependant que l’argent des coff… indolemment fume le meilleur macou…
il m’arrive de le perdre des semaines c’est ma créature mais rebelle un petit mot couresse un petit mot crabe-c’est-ma faute
allo allo encore une nuit pas la p… même noyé je n’aurai jamais cette… le courant de la journée blonde co… de cette terre-là allo allo encore… avec des baguettes de chinois allo…
Va, autour de moi, de mon flanc de ma tête, de mon noueux cœur noi… ta ronde, harcelant de la cohue de… mon nom. Que perce, transperce l’écorce rés…
les pierres leur furent sans mœlle… prirent en haine leur démon troquèrent contre muids fades sans… les pieuvres de leur sang et leurs… dénoncèrent les pactes même les pl…
à larges coups d’épée de sisal de… à grands coups fauves de tes bras… à ton gré batéké de tes bras de re… de don qui frappent de clairvoyanc… les espaces aveugles baignés d’ois…
Je t’emmerde geôlier la fièvre avec aux dents le poigna… avec aux dents la parole des torre… la fièvre cheval de race doux fauc… de son palanquin me précède
RÉCIT ...Et les collines soulevèrent de… leurs épaules sans paille, de leur… terre noire, de nénuphar torrentie… horrible du ciel tenace.
rien de moins à signaler que le ro… rien sinon que le cycle des genèse… rien sinon le frai frissonnant des… des liaisons faciles et hors de combinaisons trop hâtiv…
à René Depestre C’est une nuit de Seine
Le temps que le sénateur s’aperçut que la torna… assise dans son assiette et la tornade ét… Kansas-City
Fumez marais les images rupestres de l’inconnu vers moi détournent le silencieux… de leur rire Fumez ô marais cœur d’oursin