de l’être et de la soif arroi au demeurant délabré alphabet en aboi à l’heure où dans le vent il y a squales de l’orage

les combinaisons les plus variées… à la version d’un venin de feu ou… à la vermine des métaux l’avenir étant toujours scellé aux… et du cachet des cendres

Mon eau n’écoute pas mon eau chante comme un secret Mon eau ne chante pas mon eau exulte comme un secret Mon eau travaille

Et merde comme aucune la mer sans… d’écoute sans pare-éclats sans boy… fer de la nuit si céphalopode ex-v… son sein mon gueuloir d’Antille ve… corymbe des jours corymbe des nuit…

pour S. Senghor le pont de lianes s’il s’écroule c’est sur cent mille oursins d’éto…

~ Extraits ~ Tout ce qui jamais fut déchiré en… au milieu de l’assiette de son sou… Et pourtant que te reste-t-il du t… à peine peut-être certain sens

sublimes excoriations d’une chair… mât prophétique des carènes feu vivier des murènes feu feu feux de… crachats suspendus éponge dégoutta… valse de feu des pelouses jonchées…

des promesses qui éclatent en peti… ivres de leur propre déhiscence la… reconquise) une donne de trésors m… et puis ces détonations de bambous… soleils

De fibres de plume de bois lisse r… de pierre de cuivre de fer surgir avec au cou le collier de mémoire jusqu’à l’aube débile

celui qui balise l’aire d’atterris… Curaçao pour fournir le gîte aux p… celui pour qui les burseras de la… celui qui contemple chaque jour la… qu’il est superflu de nommer

une envolée s’immobilise en fougères arboresce… et gracieusement salue en inclinan… à peine frémissantes une saison plus bas la

Fumez marais les images rupestres de l’inconnu vers moi détournent le silencieux… de leur rire Fumez ô marais cœur d’oursin

rôdeuse oh rôdeuse à petits pas de cicatrice mal ferm… nuit sac et ressac à petits glissements de boutre

A la quête de mes pas dans la chaleur du temple mal circ… cette distance qui toujours s’accr… la mauvaise herbe de ma lumière tout ce que j’ai pu ronger de mur…

nous montons nattes de pendus des canéfices (le bourreau aura oublié de faire… belles mains qui pendent des fougè… les balisiers se déchirent le cœur…