Quand dans cet atroce enfer j’entre,
Mais que de loin je t’aperçois,
Sur ta beauté je me concentre,
Plus brillante splendeur qui soit,
J’ai des papillons dans le ventre.
Dans mes pensées tu es au centre,
En moi se déroule un séisme
Dont tes yeux verts sont l’épicentre,
Tes cheveux d’or le paroxysme,
J’ai des papillons dans le ventre.
Tu combles mon cœur et son antre,
Mon corps entier d’un coup s’embrase,
Tes charmes si puissants m’éventrent,
Ta noble prestance m’écrase,
J’ai des papillons dans le ventre.