Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Après avoir donné son aumône au pl… Pensif, il s’arrêta pour les voir.… Avait maigri leur joue, avait flét… Ils s’étaient tous les quatre à te… Puis, s’étant partagé, comme ferai…
Ce siècle avait deux ans ! Rome r… Déjà Napoléon perçait sous Bonapa… Et du premier consul, déjà, par ma… Le front de l’empereur brisait le… Alors dans Besançon, vieille vill…
Denise, ton mari, notre vieux péda… Se promène ; il s’en va troubler l… Du bel adolescent Avril dans la f… Tout tremble et tout devient pédan… L’âne bougonne un thème au boeuf s…
Matelots ! matelots ! vous déploie… Vous voguerez, joyeux parfois, mor… Et vous regarderez aux lueurs des… La rive, écueil ou port, selon le… Envieux, vous mordrez la base des…
À quoi je songe ?—Hélas ! loin du… Enfants, je songe à vous ! à vous,… Espoir de mon été déjà penchant et… Rameaux dont, tous les ans, l’ombr… Douces âmes à peine au jour épanou…
Malgré moi je reviens, et mes vers… À cet homme qui fut si misérable,… Et dont Mathieu Molé, chez les mo… Parle à Boissy d’Anglas. Ô loi sainte ! Justice ! où tout p…
Il vivait, il jouait, riante créat… Que te sert d’avoir pris cet enfan… N’as-tu pas les oiseaux peints de… Les astres, les grands bois, le ci… Que te sert d’avoir pris cet enfan…
Quand la lune apparaît dans la bru… Quand l’ombre émue a l’air de retr… Lorsque le soir emplit de frissons… Les pâles ténèbres des bois, Quand le boeuf rentre avec sa cloc…
On dit :—Soyez prudents.—Puis vie… «—... Qui veut frapper Néron Rampe, et ne se fait pas précéder… Soufflant dans un clairon. « Souviens-toi d’Ettenheim et des…
Sois avare du moindre écart d’honn… Sois juste en détail. Voir des de… Mentir pour un plaisir, tricher po… Cela ne te fait rien perdre en ta… Eh bien, prends garde. Tout finit…
Oh ! Paris est la cité mère ! Paris est le lieu solennel Où le tourbillon éphémère Tourne sur un centre éternel ! Paris ! feu sombre ou pure étoile…
Il te ressemble ; il est terrible… Il est sous l’infini le niveau mag… Il a le mouvement, il a l’immensit… Apaisé d’un rayon et d’un souffle… Tantôt c’est l’harmonie et tantôt…
Il neigeait. On était vaincu par… Pour la première fois l’aigle bais… Sombres jours ! l’empereur revenai… Laissant derrière lui brûler Mosc… Il neigeait. L’âpre hiver fondait…
VII. Toi qui bats de ton flux fidèle La roche où j’ai ployé mon aile, Vaincu, mais non pas abattu, Gouffre où l’air joue, où l’esquif…
Il songe. Il s’est assis rêveur s… Entend-il murmurer la forêt vénéra… Regarde-t-il les fleurs ? regarde-… Il songe. La nature au front myst… Fait tout ce qu’elle peut pour apa…