On ne voit en passant par les Lan… Vrai Sahara français, poudré de s… Surgir de l’herbe sèche et des fla… D’autre arbre que le pin avec sa p… Car, pour lui dérober ses larmes d…

Marbre de Paros. Un jour, au doux rêveur qui l’aime… En train de montrer ses trésors, Elle voulut lire un poème, Le poème de son beau corps.

Comme la vie est faite ! Et que l… Nous pousse aveuglément en des che… Pareil au Juif maudit, l’un, par… Promène sans repos sa course vagab… L’autre, vrai docteur Faust, baig…

Le jour tombait, une pâle nuée Du haut du ciel laissait nonchalam… Dans l’eau du fleuve à peine remué… Tremper les plis de son blanc vête… La nuit parut, la nuit morne et se…

J’aime ton nom d’Apollonie, Echo grec du sacré vallon, Qui, dans sa robuste harmonie, Te baptise soeur d’Apollon. Sur la lyre au plectre d’ivoire,

Confort et far-niente !– toute une… De calme et de bien-être, à donner… De s’en aller là-bas être Flamand… La pipe culottée et la cruche à fl… Le vidrecome large à tenir quatre…

Madrigal panthéiste. Dans le fronton d’un temple antiqu… Deux blocs de marbre ont, trois mi… Sur le fond bleu du ciel attique Juxtaposé leurs rêves blancs ;

À travers la forêt de folles arabe… Que le doigt du sommeil trace au m… Je vis, comme l’on voit les Fortu… Un jeune homme penché sur la bouch… Il jetait, par grands tas, dans ce…

Seul, le coude dans la plume, J’ai froissé jusqu’au matin Les feuillets d’un gros volume Plein de grec et de latin ; Car nulle étroite pantoufle

Il naît sous le soleil de nobles c… Unissant ici-bas tout ce qu’on peu… Corps de fer, cœur de flamme, admi… Dieu semble les produire afin de s… Il prend, pour les pétrir, une arg…

Une pitié me prend quand à part mo… À cette ambition terrible qui nous… De faire parmi tous reluire notre… De ne voir s’élever par-dessus nou… D’avoir vivant encore le nimbe et…

Squelettes conservés dans les amph… Animaux empaillés, monstres, foetu… Tout humides encor de leur bain d’… Culs-de-jatte, pieds-bots, montés… Pendus tirant la langue et faisant…

Les pitons des sierras, les dunes… Où ne pousse jamais un seul brin d… Les monts aux flancs zébrés de tuf… Et que l’éboulement de jour en jou… Le grès plein de micas papillotant…

Lorsque l’on est monté jusqu’au ni… Et que l’on voit, sous soi, les pl… Se fondre et s’effacer au flanc de… Et, comme un lac, bleuir tout au f… On s’aperçoit enfin qu’on grimpera…

Dans la forêt chauve et rouillée Il ne reste plus au rameau Qu’une pauvre feuille oubliée, Rien qu’une feuille et qu’un oisea… Il ne reste plus dans mon âme