Dans la cour au couchant
Les cris perdus sous les marques du temps
ou la campagne
Cette face tranquille et vaste
La nuit qui se cache
Le soir qui se calme
Et tout s’immobilise
quand le vent se replie tombe
Quand le tour est fini
L’arme de feu la langue sur le mur où grimpe le soleil
Sous l’auberge les passants relevés de leur rêve
Le toit ou le tapis
Et le temps qui s’achève