#ÉcrivainsFrançais
Près du chemin ouvert Et du bois sous la neige La pointe qui soulève la nuit La lampe veille Sur le visage blanc les paupières…
Je ne peux plus regarder ton visag… Où te caches-tu La maison s’est évanouie parmi les… Et tu as quitté la dernière fenêtr… Où tu m’apparaissais
Dans le cirque Les boulevards réduits à presque r… Des visages blafards Des coins de rue Une manche qui flotte
Entre le col de verre et le vin Flotte un nuage Mélange Clair-obscur Lambeaux
Il sait à peine d’où tu viens Malgré la ride qui te marque Malgré ces traces sur tes joues Et les mouvements de tes mains Il ne veut pas que tu t’en ailles
Dans la rue ce sont avec la couleu… ciel large et bas les pavés luisan… La rue est divisée en cadres blanc… marque son pas où la pluie joue au… les grosses gouttes de l’orage
Net et fixe Son œil s’écarte du plan blanc L’instrument est plus près des car… Les formes du paysage clair Et les traits violents du visage
Au milieu de cet attroupement il y a avec un enfant qui danse un homme qui soulève des poids. Ses bras tatoués de bleu prennent le ciel à témoin de leur force inutile. L’enfant danse, l...
Le feu est presque éteint Et devant quelqu’un pleure Où passe cette main Dont la chaleur demeure Il fait nuit
II criait dans la ruelle à l’abri Je suis le mari de cette femme déb… Qui vous montrera son cœur et son… Regardez L’heure du départ avait depuis lon…
La fumée vient-elle de leurs chemi… Dans la rue où nos bras jettent un… Quand les toits se touchent on n’o…
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…
Le temps passé dans une chambre où tout est noir reviendra plus tard. Alors j’apporterai une petite lampe et je vous éclairerai. Les gestes confus se préciseront. Je pourrai donner un s...
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Il faisait si chaud qu’il laissait… Il les laissait accrochés aux buis… Et, quand il fut nu, il s’approcha… Une honte immense s’empara de lui… Il était nu et comment ne pas atti…