#ÉcrivainsFrançais
J’ai trouvé des boules et des tuya… Et moi, moi qui ne savais pas pour…
Enfin le vent plus libre passe La pointe fléchit sur sa trace Une vague s’efface plus loin Sur le champ le plan monte Le ciel s’incline lentement
Que de libres ! Un temple dont les murs épais étaient bâtis en livres. Et là dedans, où j’étais entré on ne saura comment, je ne sais par où, j’étouffais ; les plafonds étaient gris de ...
Près du chemin ouvert Et du bois sous la neige La pointe qui soulève la nuit La lampe veille Sur le visage blanc les paupières…
Les mains levées vers un point où… robuste Qui se vengera Même si tout retombe au silence po… Et moi sans être battu ni vainqueu… Derrière le porte-manteau mobile c…
Une niche Un nombre Une troupe d’hommes Tout le bout est là On n’avance plus
Les voix qui s’élevaient tremblent… Tout est calme dans la clairière On pourrait voir passer ceux qui s… Sur cette route sans ornières D’où vient celui que l’on ne conna…
L’éclair passe à travers la bague Le diamant reste à ton doigt La ligne sortait du coin le plus s… Celle qui était à son bras formée… La femme souriait
Au bord du toit Un nuage danse Trois gouttes d’eau pendent à la gouttière Trois étoiles
Nous sommes deux Sur la même ligne où tout se suit Dans les méandres de la nuit Une parole est au milieu Deux bouches qui ne se voient pas
Derrière la porte où je suis caché Le soir tarde à venir Je regarde le ciel par cet œil en… Minuit Les avions de feu sont presque tou…
La– vie est simple et gaie Le soleil clair tinte avec un brui… Le son des cloches s’est calmé Ce matin la lumière traverse tout Ma tête est une rampe allumée
Le temps passe à des gens plus vieux. La lumière froide qui sort de leurs yeux n’appelle pas le jour. Ils regardent en dedans pour ne rien voir. Des gens, des souvenirs pénibles y remue...
Le soir Le monde est creux A peine une lumière L’éclat d’une main sur la terre Et d’un front blanc sous les cheve…
Il grimpe sans jamais s’arrêter, s… Le poids qu’il traîne est lourd ma… A chaque porte il a crié son nom,… Mais quand il a su qu’on attendait…