Allez en paix, mon cher tourment, Vous m’avez assez alarmée, Assez émue, assez charmée... Allez au loin, mon cher tourment, Hélas ! mon invisible aimant !

Inexplicable cœur, énigme de toi-m… Tyran de ma raison, de la vertu qu… Ennemi du repos, amant de la doule… Que tu me fais de mal, inexplicabl… Si l’horizon plus clair me permet…

Ah ! Si j’étais le cher petit enf… Qu’on aime bien, mais qui pleure s… Gai comme un charme, Sans une larme, J’écouterais chanter l’heure et le…

Églantine ! Humble fleur, comme mo… Ne crains pas que sur toi j’ose ét… Sans en être arrachée orne un mome… Et comme un doux rayon console mon… Quand les tièdes zéphirs s’endorme…

Savez-vous pourquoi, madame, Je refusais de vous voir ? J’aime ! Et je sens qu’une femme Des femmes craint le pouvoir. Le vôtre est tout dans vos charmes…

Reprends de ce bouquet les trompeu… Ces lettres qui font mon supplice, Ce portrait qui fut ton complice ; Il te ressemble, il rit, tout baig… Je te rends ce trésor funeste,

Dieu ! créez à sa vie un objet ple… Une voix qui réponde aux secrets d… Donnez-lui du bonheur, Dieu ! don… Du bonheur de le voir j’ai pleuré… J’ai pleuré : mais ma voix se tait…

Il fallait la laisser, solitaire e… S’abreuver de prière et d’indigent… Si peu lui semblait tout ; misère… Sédentaire à l’église et bornée à… Il fallait la laisser au long trav…

À Mademoiselle Zoé Dessaix.… Pour que tu sois de Dieu l’aimée, La plante toujours parfumée, Et colombe au vol triomphant Nommée,

T’ai-je vu chez mon père, Dans l’âge où tout est beau, Comme je dois, j’espère, Te voir près du tombeau ? Sur les bords de ma vie

Il est des maux sans nom, dont la… Change en affreuses nuits les jour… Se plaindre est impossible ; on ne… Les pleurs même du cœur refusent d… On ne se souvient pas, perdu dans…

Ô ma vie, Sans envie, J’ai vu le palais du roi ; Ma chaumière M’est plus chère,

Lasse de douleur, D’espoir obsédée, D’une fraîche idée, D’un amour en fleur, On dirait qu’une âme,

Je suis la prière qui passe Sur la terre où rien n’est à moi ; Je suis le ramier dans l’espace, Amour, où je cherche après toi. Effleurant la route féconde,