Au docteur Veyne. Si je pouvais trouver un éternel s… Voile innocent d’un coeur qui s’ou… Je l’étendrais toujours sur mes pl… Et qui tombent souvent par leur po…

Hirondelle ! hirondelle ! hirondel… Est-il au monde un coeur fidèle ? Ah ! s’il en est un, dis-le moi, J’irai le chercher avec toi. Sous le soleil ou le nuage,

Ne t’en va pas, reste au rivage ; L’amour le veut, crois-en l’amour. La mort sépare tout un jour : Tu fais comme elle ; ah ! quel cou… Vivre et mourir au même lieu,

Ah ! Si j’étais le cher petit enf… Qu’on aime bien, mais qui pleure s… Gai comme un charme, Sans une larme, J’écouterais chanter l’heure et le…

« Je vous défends, châtelaine, De courir seule au grand bois. » M’y voici, tout hors d’haleine, Et pour la seconde fois. J’aurais manqué de courage

Tout ce qu’ont dit les hirondelles Sur ce colossal bâtiment, C’est que c’était à cause d’elles Qu’on élevait un monument. Leur nid s’y pose si tranquille,

Sur la musique de Garni. En vain l’aurore, Qui se colore, Annonce un jour Fait pour l’amour ;

Allez en paix, mon cher tourment, Vous m’avez assez alarmée, Assez émue, assez charmée... Allez au loin, mon cher tourment, Hélas ! mon invisible aimant !

Lasse de douleur, D’espoir obsédée, D’une fraîche idée, D’un amour en fleur, On dirait qu’une âme,

Hélas ! que les vieillards savent… Hier, après la fête, ils riaient d… Ils riaient ! Leurs serments, dis… En voilà sous nos pieds d’aujourd’… Pourquoi, mon Olivier, m’as-tu fa…

D’ou venez-vous, couple triste et… Rien parmi nous ne vous appelle en… Les jours d’avril n’ont qu’une pâl… Et nul abri pour l’amoureux tourme… Les blés frileux cachant leurs fro…

Églantine ! Humble fleur, comme mo… Ne crains pas que sur toi j’ose ét… Sans en être arrachée orne un mome… Et comme un doux rayon console mon… Quand les tièdes zéphirs s’endorme…

Te souvient-il, ô mon âme, ô ma vi… D’un jour d’automne et pâle et lan… Il semblait dire un adieu gémissan… Aux bois qu’il attristait de sa mé… Les oiseaux dans les airs ne chant…

Je n’ai vu qu’un regard de cette b… À travers le volet qui touche à vo… Ma soeur, et sur la vitre où passa… Ce fut l’adieu d’un ange obtenu pa… Et dans la rue encore on dirait, q…

Je reviens à vos pieds, Marie, Me sauver du malheur d’aimer : L’oraison qui m’avait guérie Ne vaut plus rien pour me calmer. J’avais oublié de la dire