J’écris ton nom À la surface D’un lac glacé Est-ce que mon cœur Fondra pour un autre

Je te cherche ce matin comme tant… Dans l’aube et dans la clarté de l… Je te cherche au fond des bouteill… Et dans le mouvement des corbeaux Dans le vide derrière les choses j…

Un poème par jour c’est Cinq-cents poèmes c’est Quarante mille mots Pour dire mon amour Pour invoquer ton retour

Je remplirai des bouquins de toi Toute page vide que je trouverai Je t’y dessinerai d’un trait aiman… Tu pourras un jour les feuilleter Et y trouver ton véritable portrai…

Heure bleue et une flaque désolée… J’ai remboursé toutes mes dettes Et je reste cette mendiante pour u… Exilée sur le quai de Buxtehude Heure bleue et le printemps tarde…

Afin de te soustraire au néant ram… Et te tirer de cette affreuse affa… Je répandrai le baume de mes baise… Sur les restes de ton cœur Recollerai soigneusement tes morce…

Par quelle démence je t’aime Je ne sais pas Par quelle inclinaison funèbre J’ai le goût de la souffrance Et par quelle divine blessure

Il s’est barré Plus rien n’est sorti De ses lèvres amères Il s’est rayé de la carte Et partout où je suis passée

Ses mots me transpercent Je ne sais pas dire pourquoi Il n’y a rien de triste au fond Il n’y a jamais rien de triste Mes larmes je ne sais pas