Amour tu sembles au phalange qui p… Lui de sa queue, et toi de ta quad… De tous deux est la pointure morte… Qui rampe au coeur, et si n’aparoi… Sans souffrir mal tu me conduis au…

Ode XXVIII. Si j’avois un riche tresor, Ou des vaisseaux engravez d’or, Tableaux ou medailles de cuivre, Ou ces joyaux qui font passer

Afin que ton renom s’étende par la… Autant qu’il monte au ciel engravé… Invoquant tous les Dieux, et répa… Je consacre à ton nom cette belle… Pasteurs, que vos troupeaux frisez…

T’oseroit bien quelque poète Nyer des vers, douce alouette ? Quant à moy je ne l’oserois, Je veux celebrer ton ramage Sur tous oyseaus qui sont en cage,

Amelette Ronsardelette, Mignonnelette doucelette, Treschere hostesse de mon corps, Tu descens là bas foiblelette, Pasle, maigrelette, seulette,

Ma petite colombelle, Ma mignonne toute belle, Mon petit œil, baisez-moi ; D’une bouche toute pleine De musc, chassez-moi la peine

Peins-moi, Janet, peins-moi, je t… Dans ce tableau les beautés de m’a… De la façon que je te les dirai. Comme importun je ne te supplierai D’un art menteur quelque faveur lu…

Je voudrais être Ixion et Tantale… Dessus la roue et dans les eaux là… Et nu à nu presser entre mes bras Cette beauté qui les anges égale. S’ainsi était, toute peine fatale

Ces liens d’or, cette bouche verme… Pleine de lis, de roses et d’oeill… Et ces coraux chastement vermeille… Et cette joue à l’Aurore pareille… Ces mains, ce col, ce front, et ce…

Ode XXVII. Le boyteus mari de Vénus Aveques ses Cyclopes nus R’alumoir un jour les flammeches De sa forge, à fin d’echaufer

Ce beau corail, ce marbre qui soup… Et cet ébène ornement du sourcil, Et cet albâtre en voûte raccourci, Et ces saphirs, ce jaspe et ce por… Ces diamants, ces rubis qu’un Zép…

Quand je suis vingt ou trente mois Sans retourner en Vendômois, Plein de pensées vagabondes, Plein d’un remords et d’un souci, Aux rochers je me plains ainsi,

Soit que son or se crêpe lentement Ou soit qu’il vague en deux glissa… Qui çà, qui là par le sein vagabon… Et sur le col, nagent folâtrement… Ou soit qu’un noeud illustré riche…

Verson ces roses pres ce vin, De ce vin verson ces roses, Et boyvon l’un à l’autre, afin Qu’au coeur noz tristesses enclose… Prennent en boyvant quelque fin.

J’ai l’âme, pour un lit, de regret… Que nul homme jamais ne fera que j… De la chambre amoureuse, encore mo… Où je vis ma maîtresse, au mois de… Un somme languissant la tenait mi-…