"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
Faites mon portait. Il se modifiera pour remplir tous… Faites mon portrait sans bruit, se… À moins que—s’il—sauf—excepté— Je ne vous entends pas.
Parfaitement éveillée et très bell… A-t-elle le pain qu’il lui faut Elle n’a que sa beauté Cet éclat perché haut comme une ét… Pourtant la terre est là
Soleil de proie prisonnier de ma t… Enlève la colline, enlève la forêt… Le ciel est plus beau que jamais. Les libellules des raisins Lui donnent des formes précises
La vie est bien aimable. Venez à moi, si je vais à vous c’e… Les anges des bouquets dont les fl…
Les filets des arbres ont pris bea… Natures, Les pattes des oiseaux ont pris le… À leurs os.
La rue est bientôt là, À la rue le cheval. Plus beau que le corbeau Il lui faut un chemin. Fine jambe, léger héros
Les lumières en l’air, L’air sur un tour moitié passé, mo… Faites entrer les enfants, Tous les saluts, tous les baisers,… Autour de la bouche
Une mouche sur sa main. Le soleil, pour l’empêcher de s’envoler, plante des aiguilles autour d’elle. Le soleil attire les hirondelles atteintes de ces affreuses maladies de peau qui déf...
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil
Loin, le soleil aiguise sur les pierres sa hâte d’en finir. L’art d’aimer, l’art libéeral, l’art de bien mourir, l’art de penser, l’art incohérent, l’art de fumer, l’art de jouir, l’art...
La ville cousue de fil blanc, Les toits portants cheminées, Le ciel parallèle aux rues, Les rues, La fumée sur les trottoirs,
Le sommeil a pris ton empreinte Et la colore de tes yeux.
Ce qui se dit : J’ai traversé la rue pour ne plus être au soleil. Il fait trop chaud, même à l’ombre. Il y a la rue, quatre étages et ma fenêtre au soleil. Une casquette sur la tête, un...
Un bouquet tout défait brûle les c… Et le plumage entier de la perditi… Rayonne dans la nuit et dans la me… Plus d’horizon, plus de ceinture, Les naufragés, pour la première fo…
Le jour revient le jour est mainte… La terre s’ouvre et glisse et meur… Mais déjà les vivants ont accepté… Dans l’épaisseur de l’homme une ét… Et la femme soulève son enfant de…