"Derniers vers (1872)"
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Assez vu. La vision s’est rencont… Assez eu. Rumeurs des villes, le… Assez connu. Les arrêts de la vie… Départ dans l’affection et le brui…
Parqués entre des bancs de chêne,… Qu’attiédit puamment leur souffle,… Vers le choeur ruisselant d’orrie… Aux vingt gueules gueulant les can… Comme un parfum de pain humant l’o…
Ainsi, toujours, vers l’azur noir Où tremble la mer des topazes, Fonctionneront dans ton soir Les Lys, ces clystères d’extases… À notre époque de sagous,
Par les soirs bleus d’été, j’irai… Picoté par les blés, fouler l’herb… Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur… Je laisserai le vent baigner ma tê… Je ne parlerai pas, je ne penserai…
Le Printemps est évident, car Du coeur des Propriétés vertes, Le vol de Thiers et de Picard Tient ses splendeurs grandes ouver… Ô Mai ! quels délirants culs-nus !
Je m’en allais, les poings dans me… Mon paletot aussi devenait idéal ; J’allais sous le ciel, Muse ! et… Oh ! là ! là ! que d’amours splend… Mon unique culotte avait un large…
La Rivière de Cassis roule ignoré… En des vaux étranges : La voix de cent corbeaux l’accompa… Et bonne voix d’anges : Avec les grands mouvements des sap…
Tant que la lame n’aura Pas coupé cette cervelle, Ce paquet blanc, vert et gras, A vapeur jamais nouvelle, (Ah ! Lui, devrait couper son
LUI.– Ta poitrine sur ma poitrin… Hein ? nous irions, Ayant de l’air plein la narine, Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne
Ma faim, Anne, Anne, Fuis sur ton âne. Si j’ai du goût, ce n’est guères Que pour la terre et les pierres. Dinn ! dinn ! dinn ! dinn ! Mange…
Jeanne-Marie a des mains fortes, Mains sombres que l’été tanna, Mains pâles comme des mains mortes… —Sont—ce des mains de Juana ? Ont-elles pris les crèmes brunes
L’hiver, nous irons dans un petit… Avec des coussins bleus. Nous serons bien. Un nid de baise… Dans chaque coin moelleux. Tu fermeras l’oeil, pour ne point…
Oisive jeunesse A tout asservie, Par délicatesse J’ai perdu ma vie. Ah ! Que le temps vienne
Comme je descendais des Fleuves i… Je ne me sentis plus guidé par les… Des Peaux-Rouges criards les avai… Les ayant cloués nus aux poteaux d… J’étais insoucieux de tous les équ…
Je vis assis, tel qu’un ange aux m… Empoignant une chope à fortes cann… L’hypogastre et le col cambrés, un… Aux dents, sous l’air gonflé d’imp… Tels que les excréments chauds d’u…