Baies ailées j’ai marché sur le cœur grondant de l’excellent printemps
de qui ai-je jamais soutiré autre femme qu’un long cri et sous ma traction de lait qu’une terre s’enfuyant blessée et reptile entre les dents de la forêt
net trop plein du jet
me voici
dans les arrières des eaux
et roucoulant vos scrupuleuses colombes
assis mets vrai pour les oiseaux
que toutes les trames en vain se nouent
que tous les moulins à prière à gauche tournent
Il n’y a plus de machine à traire le matin qui n’est
pas encore monté.
Tous mes cailloux sont d’offense
Point d’huile.
La loi est nue.