L’aube passe le seuil, le vent s’est tu,
Le feu s’est retiré dans la laure des ombres.
Terre des bouches froides, ô criant
Le plus vieux deuil par tes secrètes dues,
L’aube va refleurir sur tes yeux de sommeil,
Découvre-moi souillé ton visage d’orante.