Celle qui ruine l’être, la beauté, Sera suppliciée, mise à la roue, Déshonorée, dite coupable, faite s… Et cri, et nuit, de toute joie dép… O déchirée sur toutes grilles d’av…

Es-tu vraiment morte ou joues-tu Encore à simuler la pâleur et le s… O toi passionnément au sommeil qui… Comme on ne sait que mourir ? Es-tu vraiment morte ou joues-tu

Parfois je te savais la terre, je… Sur tes lèvres l’angoisse des font… Quand elle sourd des pierres chaud… Dominait haut la pierre heureuse e… Parfois je te disais de myrte et n…

L’été passa violent dans les salle… Ses yeux étaient aveugles, son fla… Il cria, et l’appel bouleversa le… De ceux qui dormaient là au simple… Ils frémirent.

Ici l’inquiète voix consent d’aime… La pierre simple. Les dalles que le temps asservit e… L’olivier dont la force a goût de… Le pas dans son vrai lieu.

Mais non, toujours D’un déploiement de l’aile de l’im… Tu t’éveilles, avec un cri, Du lieu, qui n’est qu’un rêve. Ta voix, soudain,

Il y a qu’une épée était engagée Dans la masse de pierre. La garde était rouillée, l’antique… Avait rougi le flanc de la pierre… Et tu savais qu’il te fallait sais…

J’imagine souvent, au-dessus de mo… Un visage sacrificiel, dont les ra… Sont comme un champ de terre labou… Les lèvres et les yeux sont souria… Le front est morne, un bruit de me…

La salamandre surprise s’immobilis… Et feint la mort. Tel est le premier pas de la consc… Le mythe le plus pur. Un grand leu traversé, qui est esp…

Le lit, la vitre auprès, la vallée… La magnifique rapidité de ces nuag… La griffe de la pluie sur la vitre… Comme si le néant paraphait le mon… Dans mon rêve d’hier

Que le faut-il, voix qui reprends,… la sève De l’olivier que glaça l’autre hiv… Le temps divin qu’il faut pour emp… Oui, rien qu’aimer ce temps désert…

Prestige, disais-tu, de notre lamp… Ces hôies de nos soirs. Ils tirent jusqu’à nous leurs barq… Ils connaisseni notre désir de l’é… La nuit parfaite dans le ciel cria…

Ainsi jusqu’à la mort, visages réu… Gestes gauches du cœur sur le corp… Et sur lequel tu meurs, absolue vé… Ce corps abandonné à tes mains aff… L’odeur du sang sera ce bien que t…

L’oiseau qui s’est dépris d’être Phénix Demeure seul dans l’arbre pour mou… Il s’est enveloppé de la nuit de b… II ne sent pas l’épée qui pénètre…

Il y a nombre d’années, AV., Nous avons vu le temps venir au-de… Qui regardions par la fenêtre ouve… De la chambre au-dessus de la chap…