#ÉcrivainsFrançais
Quel est Je lieu des morts. Ont-ils droit comme nous à des che… Parlent-ils, plus réels étant leur… Sont-ils l’esprit des feuillages o…
Nous ne nous voyons plus dans la m… Nous n’avons plus les mêmes yeux,… L’arbre est plus proche et la voix… Nos pas sont plus profonds, parmi… Dieu qui n’es pas, pose ta main su…
Il y a nombre d’années, AV., Nous avons vu le temps venir au-de… Qui regardions par la fenêtre ouve… De la chambre au-dessus de la chap…
Il y a sans doute toujours au bout… Où je marchais enfant une mare d’h… Un rectangle de lourde mort sous l… Depuis la poésie A séparé ses eaux des autres eaux.
Que le faut-il, voix qui reprends,… la sève De l’olivier que glaça l’autre hiv… Le temps divin qu’il faut pour emp… Oui, rien qu’aimer ce temps désert…
Vous qui vous êtes effacés sur son… Qui avez refermé sur elle vos chem… Impassibles garants que Douve même morte Sera lumière encore n’étant rien.
Longues, longues journées. Le sang inapaise heurte le sang. Le nageur est aveugle. 11 descend par étages pourpres dan… Quand la nuque se tend
L’arbre vieillit dans l’arbre, c’e… L’oiseau franchit le chant de l’oi… Le rouge de la robe illumine et di… Loin, au ciel, le charroi de l’ant… O fragile pays.
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Il y a qu’une épée était engagée Dans la masse de pierre. La garde était rouillée, l’antique… Avait rougi le flanc de la pierre… Et tu savais qu’il te fallait sais…
Jamais douleur Ne lut plus élégante dans ces gril… Noires, que dévora le soleil. Et jamais Élégance ne lut cause pl… Un feu double, debout sur les gril…
Le pays du début d’octobre n’avait… Qui ne se déchirât dans l’herbe, e… En venaient à des cris d’absence e… Sur un haut flanc courbé qui se hâ… Ma parole du soir,
Cinq heures. Le sommeil est léger, en taches su… Le jour puise là-bas dans la coule… Ruisselante, du soir. Et c’est comme si l’âme se simplif…
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...