#ÉcrivainsFrançais
D’une branche neigeuse à l’autre,… Qui ont passé sans qu’aucun vent n… Se font des éparpillements de la l… À des moments, comme nous avançons… Et cette poudre ne retombe qu’infi…
Il y a nombre d’années, AV., Nous avons vu le temps venir au-de… Qui regardions par la fenêtre ouve… De la chambre au-dessus de la chap…
Ici, dans le lieu clair. Ce n’est plus l’aube, C’est déjà la journée aux dicibles… Des mirages d’un chant dans ton rê… Que ce scintillement de pierres à…
Dedham, vu de Langham. L’été est sombre Où des nuages se rassemblent. On pourrait croire
Touie la nuit la bête a bougé dans… Qu’est-ce que ce chemin qui ne veu… Toute la nuit la barque a cherché… Qu’est-ce que ces absents qui veul… Toute la nuii l’épée a connu la bl…
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Nous ne nous voyons plus dans la m… Nous n’avons plus les mêmes yeux,… L’arbre est plus proche et la voix… Nos pas sont plus profonds, parmi… Dieu qui n’es pas, pose ta main su…
Le feu a pris, c’est là le destin… Il va toucher leur cœur de pierrai… Lui qui venait au port de toute ch… Aux rives de matière il se reposer… Il brûlera.
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
Visage séparé de ses branches prem… Beauté loute d’alarme par ciel bas… En quel àtre dresser le feu de ton… O Ménade saisie jetée la tête en bas…
Ainsi jusqu’à la mort, visages réu… Gestes gauches du cœur sur le corp… Et sur lequel tu meurs, absolue vé… Ce corps abandonné à tes mains aff… L’odeur du sang sera ce bien que t…
L’arbre vieillit dans l’arbre, c’e… L’oiseau franchit le chant de l’oi… Le rouge de la robe illumine et di… Loin, au ciel, le charroi de l’ant… O fragile pays.
Chemins, parmi La matière des arbres. Dieux, parmi Les touffes de ce chant inlassable… Et tout ton sang voûté sous une ma…
Secouant ta chevelure ou cendre de Phénix, Quel geste tentes-tu quand tout s’… Et quand minuit dans l’être illumi… Quel signe gardes-tu sur tes lèvre…
L’orage qui s’attarde, le lit défa… La fenêtre qui bai dans la chaleur Et le sang dans sa fièvre : je rep… La main proche à son rêve, la chev… A son anneau de barque retenue