#ÉcrivainsFrançais
Je sors, Il y a des milliers de pierres dan… J’entends De toute part le bruit de la nuit… Est-il vrai, mes amis,
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha… Sur notre épaule, comme Pour dire que le temps ne va rien…
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
Ce souvenir me hante, que le vent… D’un coup, là-bas, sur la maison f… C’est un grand bruit de toile par… On dirait que l’étoffe de la coule… Vient de se déchirer jusqu’au fond…
Regarde-les là-bas, à ce carrefour… Qui semblent hésiter puis qui repa… L’enfant court devant eux, ils ont… En de grandes brassées pour les qu… Ces fleurs d’à travers champs qui…
Aube, fille des larmes, rétablis La chambre dans sa paix de chose g… Et le cœur dans son ordre. Tant de nuit Demandait à ce feu qu’il décline e…
Cinq heures. Le sommeil est léger, en taches su… Le jour puise là-bas dans la coule… Ruisselante, du soir. Et c’est comme si l’âme se simplif…
Elle est venue de plus loin que le… Elle a touché le pré, l’ocre des f… De cette main qui écrit en fumée, Elle a vaincu le temps par le sile… Davantage de lumière ce soir
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
J’étais celui qui marche par souci D’une eau dernière trouble. Il faisait beau Dans l’été le plus clair. Il faisait nuit
L’oiseau qui s’est dépris d’être Phénix Demeure seul dans l’arbre pour mou… Il s’est enveloppé de la nuit de b… II ne sent pas l’épée qui pénètre…
Il y a sans doute toujours au bout… Où je marchais enfant une mare d’h… Un rectangle de lourde mort sous l… Depuis la poésie A séparé ses eaux des autres eaux.
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
Es-tu gaie ou triste ? Ai-jc su jamais. Sauf que rien ne pèse Au cœur sans retour. Aucun pas d’oiseau