Odelettes (1856)
#ÉcrivainsFrançais
Sur la colline, Quand la splendeur Du ciel en fleur Au soir décline, L’air illumine
Cependant qu’étrangère à la nature… Elle rêvait sans but sur sa couche… Le soleil frissonnait sur l’or et… Le doux air de l’été, qui chasse l… Chargé de la couleur et du parfum…
Avec ses sanglots, l’instrument re… Qui sent un pouvoir plus fort que… Donne l’harmonie enivrante et bell… Au musicien. Le cheval meurtri, qui saigne et q…
Toi dont les cheveux doux et longs Se déroulent en onde fière, Comme les flots de ta rivière, Ô belle fille de Châlons ! Penche ta tête parfumée,
Puisse le Dieu vivant dessécher l… À qui m’a mise là vivante sous la… Et, comme un enfant porte un mante… M’a forcée à porter ces édifices l… Ces vieux murs en haillons, ces ma…
Lecteur, prompt à nous consoler, Toi qui sais encore voler, Comme l’abeille, au miel attique, Ton enthousiaste rumeur Encourage le doux rimeur,
Toute cette nuit nous avons Relu le vieil ami Shakspere Aux beaux endroits que nous savons… Et voici que la nuit expire. Nous avons longtemps veillé, mais
L’eau, dans les grands lacs bleus Endormie, Est le miroir des cieux : Mais j’aime mieux les yeux De ma mie.
Comme l’autre Ophélie, Dont la douce folie S’endort en murmurant Dans le torrent, Pâle, déchevelée
Odette, vos cheveux vermeils Ont le jaune éclat des soleils Parmi les moissons enchantées, Et caressent en nappes d’or Vos tempes plus blanches encor
Nous n’irons plus au bois, les lau… Les Amours des bassins, les Naïad… Voient reluire au soleil en crista… Les flots silencieux qui coulaient… Les lauriers sont coupés, et le ce…
Dans le vieux cimetière, où cette… Sur l’aubépine en fleurs A versé, dans un flot que le solei… Des parfums et des pleurs ; Au coucher du soleil, dans le vieu…
Sachons adorer ! Sachons lire ! La Coupe, le Sein et la Lyre Nous donnent le triple délire. Symbole dont le fier dessin Fut jadis moulé sur le Sein,
Oui, vous m’offrez votre amitié, Pour tous les maux que je vous con… Mais quoi ! c’est trop peu de moit… Glycère, et je n’ai pas mon compte… Je soupire, et vous en retour
Enfant au hasard vêtu, D’où viens-tu Avec ta chanson bizarre ? D’où viennent à l’unisson Ta chanson,