Oui, mais ainsi qu’on voit en la g… Les débats des plus grands, du fai… De leur douteux combat laisser tou… Au corps mort du pays, aux cendres… Je suis le champ sanglant où la fu…

Sort inique et cruel ! le triste l… Qui s’est arné le dos à suivre sa… Qui sans regret semant la semence… Prodigua de son temps l’inutile su… Car un hiver trop long étouffa son…

Je confesse, j’eu tort, quand d’un… Sans feindre j’esclatay mes passio… Je devoy retenir ceste douleur est… Sans prodiguer ainsi les nymphes d… Mais quoi ! ma passion est trop fo…

On ne voit rien au Ciel, en la te… Au feu, en l’eau, à l’air, qu’en l… Mon esprit affligé n’aille se mart… Et mon âme sur soy cruellyse insol… Quand une âme céleste, une paresse…

Prison… Lors que ma douleur secrète, D’un cachot aveugle jette Maint soupir empoisonné, Tu m’entends bien sans parole.

Ronsard si tu as su par tout le mo… L’amitié, la douceur, les grâces,… Les faveurs, les ennuis, l’aise et… Et les chastes amours de toi et ta… Je ne veux à l’envi pour sa nièce,…

À longs filets de sang ce lamentab… Tire du lieu qu’il fuit le lien de… Et séparé du coeur qu’il a laissé… Dedans les forts liens et aux main… Il s’enfuit de sa vie et cherche m…

Pressé de désespoir, mes yeux flam… À ma beauté cruelle, et baisant pa… Mon poignard nu, je l’offre aux ma… Et lâchant mes soupirs en ma tremb… Ces mots coupés je presse :

Ode V. Ainsi l’amour et la fortune, Tous deux causes de mes douleurs, Donnent à mes nouveaux malheurs Leur force contraire et commune,

Nos désirs sont d’amour la dévoran… Sa boutique nos corps, ses flammes… Ses tenailles nos yeux, et la trem… Nos soupirs ses soufflets, et nos… De courroux, ses marteaux, il tour…

Amour qui n’est qu’amour, qui vit… De soi-même par soi par soi-même a… Qui naquit éternel vif à l’éternit… Qui surpasse en aimant l’âme et la… Que cet amour est près de la divin…

Sonnet LXXXIII. Ce doux hiver qui égale ses jours A un printemps, tant il est aimabl… Bien qu’il soit beau, ne m’est pas… J’en crains la queue, et le succès…

Ô combien le repos devrait être pl… Après un long chemin, fâcheux et d… Ô combien la santé qui tire le déb… Hors du lit par la main, le va fav… Combien, après la nuit, le soleil…

Oui, je suis proprement à ton nom… Le temple consacré, tel qu’en Tau… Fut celui où le sang apaisait ton… Mon estomac pourpré est un pareil… On t’assommait l’humain, mon sacri…

Ne lisez pas ces vers, si mieux vo… Les escrits de mon coeur, les feux… Non, ne les lisez pas, mais regard… Voyez comme ils ont joint leurs la… Oyez comme les vents pour moy leve…