Dans le parc de Thalcy, j’ai dres… Sur qui le temps faucheur ni l’enn… Des filles de la nuit jamais n’aur… Et non plus que mes vers n’éteindr… J’ai engravé dessus deux chiffres…

Sonnet VI. Hardy j’entreprendray de te rendre… Targuant de mes escrips ton nom co… Mais en t’éternisant, je ne travai… Ta perfection n’est en aucun poinc…

Je brûle avec mon âme et mon sang… Cent amoureux sonnets donnés pour… Si peu de mes langueurs qu’il m’es… Soupirant un Hécate, et mon mal g… Pour ces justes raisons, j’ai obse…

Quand du sort inhumain les tenaill… Du milieu de mon corps tirent crue… Mon coeur qui bat encor’ et pousse… Abandonnant le corps, ses plaintes… Que je sens de douleurs, de peines…

Au tribunal d’amour, après mon der… Mon coeur sera porté diffamé de br… Il sera exposé, on verra ses bless… Pour connaître qui fit un si étran… A la face et aux yeux de la Céles…

Combattu des vents et des flots, Voyant tous les jours ma mort pres… Et abayé d’une tempeste D’ennemis, d’aguetz, de complotz, Me resveillant à tous propos,

On ne voit rien au Ciel, en la te… Au feu, en l’eau, à l’air, qu’en l… Mon esprit affligé n’aille se mart… Et mon âme sur soy cruellyse insol… Quand une âme céleste, une paresse…

À Suza… J’ai couvert mes plaintes funèbres Sous le voile noir des ténèbres, La nuit a gardé mes ennuis, Le jour mes allégresses feintes ;

Stance VII. Puisque le cors blessé, mollement… Sur un lit qui se courbe aux malhe… Me faict venir au ronge et gouster… Mes membres, jouissez du repos pre…

Si vous voyiez mon coeur ainsi que… Vous le verriez sanglant, transper… Tout brûlé, crevassé, vous seriez… Forcée à me pleurer, et briser vot… Si ces maux n’apaisaient encor vot…

N’est-ce point sans raison que ces… Etre sur les humains respectés en… Car ils sont demi-dieux, puisque l… Leur louable excrément de substanc… Et si vous adorez un ciboire pour…

Quiconque sur les os des tombeaux… Verra le triste amant, les restes… D’un coeur séché d’amour, et l’imm… Qui par son âme morte est mis entr… Qu’il déplore le sort d’une âme à…

Le miel sucré de vostre grâce, Le bel astre de vostre face Meurtrière de tant de cueurs Ne sorte de ma souvenance ; Mais où prendray-je l’espérance

Auprès de ce beau teint, le lys en… Le lait est basané auprès de ce be… Du cygne la blancheur auprès de vo… Et celle du papier où est votre lo… Le sucre est blanc, et lorsqu’en l…

Nous ferons, ma Diane, un jardin… J’en serai laboureur, vous dame et… Vous donnerez le champ, je fournir… Afin que son honneur soit commun à… Les fleurs dont ce parterre éjouir…