Bien que la guerre soit âpre, fièr… Et qu’un douteux combat dérobe la… Que de deux camps mêlés l’une et l… Perde son espérance, et puis la re… Enfin, lors que le champ par les p…

N’est-ce point sans raison que ces… Etre sur les humains respectés en… Car ils sont demi-dieux, puisque l… Leur louable excrément de substanc… Et si vous adorez un ciboire pour…

Je confesse, j’eu tort, quand d’un… Sans feindre j’esclatay mes passio… Je devoy retenir ceste douleur est… Sans prodiguer ainsi les nymphes d… Mais quoi ! ma passion est trop fo…

Nous ferons, ma Diane, un jardin… J’en serai laboureur, vous dame et… Vous donnerez le champ, je fournir… Afin que son honneur soit commun à… Les fleurs dont ce parterre éjouir…

Quand du sort inhumain les tenaill… Du milieu de mon corps tirent crue… Mon coeur qui bat encor’ et pousse… Abandonnant le corps, ses plaintes… Que je sens de douleurs, de peines…

En un petit esquif éperdu, malheur… Exposé à l’horreur de la mer enrag… Je disputais le sort de ma vie eng… Avec les tourbillons des bises out… Tout accourt à ma mort : Orion pl…

Sonnet LXXXIII. Ce doux hiver qui égale ses jours A un printemps, tant il est aimabl… Bien qu’il soit beau, ne m’est pas… J’en crains la queue, et le succès…

Nos désirs sont d’amour la dévoran… Sa boutique nos corps, ses flammes… Ses tenailles nos yeux, et la trem… Nos soupirs ses soufflets, et nos… De courroux, ses marteaux, il tour…

Desja la terre avait avorté la ver… Par les sillons courbez, lors qu’u… Dissipe les beautez, et à son arri… S’accorde en s’opposant au vouloir… Car le froid enuieux que le bled v…

Par ses yeux conquerans fust trist… Ma serve liberté, en la propre sai… Que le soleil plus chault reprend… Sa course d’autre part qu’il ne l’… Et au poinct proprement du solstic…

On ne voit rien au Ciel, en la te… Au feu, en l’eau, à l’air, qu’en l… Mon esprit affligé n’aille se mart… Et mon âme sur soy cruellyse insol… Quand une âme céleste, une paresse…

À longs filets de sang ce lamentab… Tire du lieu qu’il fuit le lien de… Et séparé du coeur qu’il a laissé… Dedans les forts liens et aux main… Il s’enfuit de sa vie et cherche m…

Le miel sucré de vostre grâce, Le bel astre de vostre face Meurtrière de tant de cueurs Ne sorte de ma souvenance ; Mais où prendray-je l’espérance

Sonner XXIV. Pauvre peintre aveuglé, qu’est-ce… A ce petit portrait où tu perds to… Essayant d’égaler de ton blanc arg… Ou du vermeil, le lys et l’oeillet…

Sonnet XXIII. Si je pouvoy’ porter dedans le sei… Avec mon amitié celle que j’ayme a… Je ne me plongeroy au curieux souc… Qui dévore mes sens d’une ennuyeus…