plus sans mais mon elle comme cœur aux tout ai ma leur moi ils quand lui yeux fait ses sont sous âme même mes sonnet ton amour toujours rien avec ont jamais tous bien dont leurs jour être peut cette car dit ciel toi vie aime main monde dieu tes nuit terre encore là deux homme front lèvres vers bas voir heure beau trop mère autre point quelque pleurs enfant air cœurs rêve quel peu loin bras seul ah suis moins font bruit fleur sens sent était déjà soleil fond tant morts grand ombre ceux vos ans temps beauté grands non bon peine toute avant heureux infini tour puis voix regard baiser ainsi veux corps mort alors azur enfants âge fais toutes elles eux jeune faut encor depuis grâce force mains devant femme aussi vient désir sentir jours eau œil donc forme sais semble bonheur parfois près pourquoi vent hommes plaisir étais silence fois soir immense belle autres âmes souvenir vieux chaque souffle mal mieux sommes sang doux choses vrai bois cet retour haut va songe plein doigts vain bouche coup enfin tendre tombe jusqu amours passe nature deuil nom notre après joie fleurs art tête peur lis tremble sombre aimer faire demeure rose jeunesse paix pieds nul vierge quelle fut lit droit passé triste douce vide ici aujourd hui pleure laisse roses éternel pourtant viens ensemble mot premier soupir pensée long vu oh votre quoi beaux regarde larmes voit invisible douleur néant dernier dès tombeau chair mourir entre été rire pauvre noir printemps sommeil mille tendresse autour avait sort amante rayons crois pareil part espoir moindre porte murmure pur sait dieux vois naître ignore luit hélas nuits étoile envie celui celle longtemps adieu perdu vivre fils seuls chose maître gloire veut idéal suprême solitaire étrange douceur sourire doit travers père peux savoir soit malheureux foi raison vainement feu propre univers frais aile grande pied tard seule marche froid autrefois dois partout douleurs chemin profond bleu voyage meurt vont pitié êtes poitrine entier pierre étoiles cependant vertu lieu livre très doute cher parler avais avoir parce garde désespoir morte entendre lumière debout pouvoir personne senti aurore génie nombre mots dis croire dire abîme hiver souvent pense moment aveu sœur pendant image éclore regards bientôt forts sein dort fille cherche combien faites remords longs vingt fidèle heures oiseau peuvent couleurs jeu cause noirs mystère secret hors race fer pareils paupière vive blanc rend feuille lentement donne cesse rêves eût devoir pâle obscur effort blanche jaloux éternelle soi caresse contre tel pleurer petits parmi horreur intime ayant connu ressemble reste pure vase lâche vol éveille rit ouvrir bord profonde passer flambeau comment hasard tente aimais jeunes fuir parfum taire vainqueur oreille lois aura demain plains blancheur femmes formes entends aimé sublime vague oui chambre haleine fuit malgré besoin laisser bleus aventure oublier réveil voilà poids monte pu épais langueur surtout ouvre lève ferme faite sentent présent fort chérie sonore 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