Isabelle rencontra Marie au bas de l’escalier : « Tu n’es qu’une chevelure ! lui dit… —et toi une main. —main toi-même, omoplate !

Le petit bossu me disait ma chère Viens au bal ou viens dans les boi… Ne crois pas qu’on t’aime ma chère De moi seul tu as la foi Viens je te donnerai moitié de ma…

Si vous alliez à la chasse en auto… Vous rencontreriez sûrement dans l… Un cerf un lièvre et un faisan Cela vous entraînerait loin sûreme… Si vous alliez à la chasse en auto…

Elle naît au déclin de l’automne Elle vit en rêve tout un hiver Elle s’éveille en sursaut au print… Elle aime, elle aime en plein été Elle sème des souvenirs en automne

Il n’était pas une fois un beau château au centre d’un dés… nul ne tentait d’en franchir l’acc… dans un bassin y nageait une sirène

L’étrange oiseau dans la cage aux… Je déclare que je suis le bûcheron… Un feu de Bengale inattendu a charmé ta paro… Quand je te quitte il rougit mes é…

Parce qu’il est bourré d’aubert et… L’auverpin mal lavé, le baveux des… Croit-il encor farcir ses boudins… Avec le sang des gars qu’on fusill… Paris ?

Je voudrais aujourd’hui écrire de… Ainsi que j’en lisais quand j’étai… Il est possible aussi que je sois… Mais compter tous ces mots accoupl… Me parait un travail fastidieux de…

Ce cœur qui haïssait la guerre voi… Ce cœur qui ne battait qu’au rythm… Voilà qu’il se gonfle et qu’il env… Et qu’il mène un tel bruit dans la… Et qu’il n’est pas possible que ce…

Jamais d’autre que toi en dépit des étoiles et des solitudes En dépit des mutilations d’arbre à la tombée de la nuit Jamais d’autre que toi ne poursuivra son chemin qui est le mien Jama...

L’angle sous lequel... Et d’abord quel angle ? Je n’en veux pas connaître d’autre Que celui où j’appuie ma tête Quand je m’y colle à cache-cache.

L’oiseau du Colorado Mange du miel et des gâteaux Du chocolat des mandarines Des dragées des nougatines

Abeille bruissante des matins d’ét… Abeille qui bourdonnes dans la tas… Abeille où es-tu allée ? Abeille bruissante et jamais lasse… J’ai construit ma ruche

Chaque jour de ses dents aiguës Le temps déchire un peu le tain De ce miroir et restitue A l’espace un nouveau butin La lèpre marque le visage