The Chef of the Chatham Hotel, Paris, by William Orpen
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Flowers at a Window, by Winifred Nicholson
Edgar Albert Guest Edgar Albert Guest

Edgar Albert Guest (20 August 1881 in Birmingham, England – 5 August 1959 in Detroit, Michigan) (aka Eddie Guest) was a prolific English-born American poet who was popular in the first half of the 20th century and became known as the People’s Poet. In 1891, Guest moved with his family to the United States from England. After he began at the Detroit Free Press as a copy boy and then a reporter, his first poem appeared 11 December 1898. He became a naturalized citizen in 1902. For 40 years, Guest was widely read throughout North America, and his sentimental, optimistic poems were in the same vein as the light verse of Nick Kenny, who wrote syndicated columns during the same decades. Guest’s most famous poem is the oft-quoted “Home”: It don’t make a difference how rich ye get t’ be’ How much yer chairs and tables cost, how great the luxury; It ain’t home t’ ye, though it be the palace of a king, Until somehow yer soul is sort o’ wrapped round everything. Within the hi how are you there’s got t’ be some babies born an’ then... Right there ye’ve got t’ bring em up t’ women good, an’ men; Home ain’t a place that gold can buy or get up in a minute; Afore it’s home there’s got t’ be a heap o’ living in it.” —Excerpt from “Home,” It takes A Heap o’ Livin’ (1916) When you’re up against a trouble, Meet it squarely, face to face, Lift your chin, and set your shoulders, Plant your feet and take a brace, When it’s vain to try to dodge it, Do the best that you can do. You may fail, but you may conquer— See it through! —Excerpt from “See It Through” Guest’s most motivating poem: You can do as much as you think you can, But you'll never accomplish more; If you're afraid of yourself, young man, There's little for you in store. For failure comes from the inside first, It's there, if we only knew it, And you can win, though you face the worst, If you feel that you're going to do it. —Excerpt from “The Secret of the Ages” (1926)

Gabriela Mistral Gabriela Mistral

Gabriela Mistral, seudónimo de Lucila Godoy Alcayaga,​ (Vicuña, 7 de abril de 1889-Nueva York, 10 de enero de 1957)​ fue una poetisa, diplomática, profesora y pedagoga chilena. Por su trabajo poético, recibió el Premio Nobel de Literatura en 1945. Fue la primera mujer iberoamericanan ​y la segunda persona latinoamericanan​ en recibir un Premio Nobel. Carta a Gabriela por Juana de Ibarbourou, 1957 ¿Por qué caminos del alba andas descubriendo el cielo ese, prometido a unos los que sufrimos, creemos y le pedimos a Dios ir a bruñir sus luceros ? ¿Por qué sendas, asombrada, ya vas encontrando el cielo, mientras aquí las banderas y pueblos, están de duelo.? ¿Por qué te fuiste, tan pronto precipitando el invierno cuando aún, lleno de flores, se desgranaba febrero? Yucas y conquistadores te irán formando cortejo; Pizarro barbado y noble —bronce, plata, encaje, acero— con una ciudad de torres entre sus brazos sin huesos. Y una muchedumbre oscura que va detrás de Atahualpa te sigue cantando himnos en lengua quechua y aymara. Ya estás, Gabriela, en la gloria, mitad de princesa incaica, mitad de reina española, como Isabel, la magnánima. Ya sé que no has de escribir a nadie mas en la tierra, que oficinas de correo a la eternidad se veda. ¡Pero es tan dulce que sepas Gabriela, que toda América por ti está tan conmovida como tu patria chilena...! El cielo junto al copihue la orquídea venezolana se une a la victoria-regia del Brasil, y en la sabana de Colombia, los gomeros detienen su savia trágica. ¡Toda la flora de América quiere mirarte la cara! Asómate entre las nubes una tarde arrebolada; muéstranos tu frente ancha de madre tan bien amada, ¡déjanos poquito a poco, del todo no te nos vayas! Aquí ha quedado tu verso, tu palabra estructurada con lo mejor del idioma y lo mejor de tu alma. Pero nos falta tu rostro con la sonrisa cansada, que a todos nos descansaba cuando nos daba en los ojos. Oye, Gabriela, las voces desde tu «bosque perfecto» damos la señal que diga que llega a ti nuestro acento, y repasa, tu que tanto sobre la tierra anduviste, ¡reposa y se haga radiante su risa aquella, tan triste! Descubre el cielo y descansa, pero, Gabriela ¡no olvides!

Ella Wheeler Wilcox Ella Wheeler Wilcox

Ella Wheeler Wilcox (November 5, 1850 – October 30, 1919) was an American author and poet. Her best-known work was Poems of Passion. Her most enduring work was “Solitude”, which contains the lines, “Laugh, and the world laughs with you; weep, and you weep alone”. Her autobiography, The Worlds and I, was published in 1918, a year before her death. Ella was born on a farm in Johnstown, Wisconsin, east of Janesville, the youngest of four children. The family soon moved north of Madison. She started writing poetry at a very early age, and was well known as a poet in her own state by the time she graduated from high school. Her most famous poem, “Solitude”, was first published in the February 25, 1883 issue of The New York Sun. The inspiration for the poem came as she was travelling to attend the Governor’s inaugural ball in Madison, Wisconsin. On her way to the celebration, there was a young woman dressed in black sitting across the aisle from her. The woman was crying. Miss Wheeler sat next to her and sought to comfort her for the rest of the journey. When they arrived, the poet was so depressed that she could barely attend the scheduled festivities. As she looked at her own radiant face in the mirror, she suddenly recalled the sorrowful widow. It was at that moment that she wrote the opening lines of “Solitude”: Laugh, and the world laughs with you; Weep, and you weep alone. For the sad old earth must borrow its mirth But has trouble enough of its own

Portrait of Verlaine, by Gustave Courbet
Paul Verlaine Paul Verlaine

Paul Verlaine est un écrivain et poète français du xixe siècle, né à Metz (Moselle) le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896 (à 51 ans). Il s'essaie à la poésie et publie son premier recueil, Poèmes saturniens en 1866, à 22 ans. Sa vie est bouleversée quand il rencontre Arthur Rimbaud en septembre 1871. Leur vie amoureuse tumultueuse et errante en Angleterre et en Belgique débouche sur la scène violente où, à Bruxelles, Verlaine blesse superficiellement au poignet celui qu'il appelle son « époux infernal » : jugé et condamné, il reste en prison jusqu'au début de 1875, renouant avec le catholicisme de son enfance et écrivant des poèmes qui prendront place dans ses recueils suivants : Sagesse (1880), Jadis et Naguère (1884) et Parallèlement (1889). Usé par l'alcool et la maladie, Verlaine meurt à 51 ans, le 8 janvier 1896, d'une pneumonie aiguë. Il est inhumé à Paris au cimetière des Batignolles (11e division). Archétype du poète maudit, Verlaine est reconnu comme un maître par la génération suivante. Son style — fait de musicalité et de fluidité jouant avec les rythmes impairs — et la tonalité de nombre de ses poèmes — associant mélancolie et clairs-obscurs — révèlent, au-delà de l'apparente simplicité formelle, une profonde sensibilité, en résonance avec l'inspiration de certains artistes contemporains, des peintres impressionnistes ou des compositeurs (tels Reynaldo Hahn, Gabriel Fauré et Claude Debussy, qui mettront d'ailleurs en musique plusieurs de ses poèmes). Enfance Après treize ans de mariage, Nicolas-Auguste Verlaine et son épouse Élisa-Stéphanie Dehée donnent naissance, le 30 mars 1844, au 2 rue de la Haute-Pierre, à Metz, à un fils qu'ils prénomment Paul-Marie en reconnaissance à la Vierge Marie pour cette naissance tardive, Élisa ayant fait auparavant trois fausses couches. Catholiques, ils le font baptiser en l'église Notre-Dame de Metz. Paul restera le fils unique de cette famille de petite-bourgeoisie assez aisée qui élève aussi, depuis 1836, une cousine orpheline prénommée Élisa. Son père, militaire de carrière, atteint le grade de capitaine avant de démissionner de l'armée en 1851 : la famille Verlaine quitte alors Metz pour Paris. Enfant aimé et plutôt appliqué, il est mis en pension à l'institution Landry, 32 rue Chaptal, les enfants pensionnaires à Landry suivent leurs cours au lycée Condorcet. Paul Verlaine devient un adolescent difficile, et obtient finalement son baccalauréat en 1862. Entrée dans la vie adulte C'est durant sa jeunesse qu'il s'essaie à la poésie. En effet, en 1860, la pension est pour lui source d'ennui et de dépaysement. Admirateur de Baudelaire, et s'intéressant à la faune africaine, il exprime son mal-être dû à l'éloignement de son foyer, à travers une poésie dénuée de tout message si ce n'est celui de ses sentiments, Les Girafes. « Je crois que les longs cous jamais ne se plairont/ Dans ce lieu si lointain, dans ce si bel endroit/ Qui est mon Alaska, pays où nul ne va / Car ce n'est que chez eux que comblés ils seront ». Ce court poème en quatre alexandrins reste sa première approche sur le domaine poétique, même s'il ne sera publié qu'à titre posthume[réf. nécessaire]. Bachelier, il s'inscrit en faculté de droit, mais abandonne ses études, leur préférant la fréquentation des cafés et des cercles littéraires parisiens. Il s'intéresse plus sérieusement à la poésie et, en août 1863, une revue publie son premier poème connu de son vivant : Monsieur Prudhomme, portrait satirique du bourgeois qu'il reprendra dans son premier recueil. Il collabore au premier Parnasse contemporain et publie à 22 ans en 1866 les Poèmes saturniens qui traduisent l'influence de Baudelaire, mais aussi une musique personnelle orientée vers « la Sensation rendue ». En 1869, paraît le petit recueil Fêtes galantes, fantaisies inspirées par les toiles des peintres du xviiie siècle que le Louvre vient d'exposer dans de nouvelles salles. Dans la même période, son père, inquiet de son avenir, le fait entrer en 1864 comme employé dans une compagnie d'assurance, puis, quelques mois plus tard, à la mairie du 9e arrondissement, puis à l'hôtel de ville de Paris. Il vit toujours chez ses parents et, après le décès du père en décembre 1865, chez sa mère avec laquelle il entretiendra une relation de proximité et de violence toute sa vie. Paul Verlaine est aussi très proche de sa chère cousine Élisa, orpheline recueillie dès 183611 et élevée par les Verlaine avec leur fils : il souhaitait secrètement l'épouser, mais elle se marie en 1861 avec un entrepreneur aisé (il possède une sucrerie dans le Nord) ce qui permettra à Élisa de l'aider à faire paraître son premier recueil (Poèmes saturniens, 1866). La mort en couches en 1867 de celle dont il restait amoureux le fait basculer un peu plus dans l'excès d'alcool qui le rend violent : il tente même plusieurs fois de tuer sa mère. Celle-ci l'encourage à épouser Mathilde Mauté qu'un ami lui a fait rencontrer : il lui adresse des poèmes apaisés et affectueux qu'il reprendra en partie dans La Bonne Chanson, recueil publié le 12 juin 1870, mais mis en vente seulement l'année suivante, après la guerre et la Commune. Le mariage a lieu le 11 août 1870 (Paul a 26 ans et Mathilde, 17) ; un enfant, Georges, naît le 30 octobre 1871. Les références Wikipedia—https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Verlaine

W. H. Auden W. H. Auden

Wystan Hugh Auden (21 February 1907 – 29 September 1973), who published as W. H. Auden, was an Anglo-American poet, born in England, later an American citizen, regarded by many as one of the greatest writers of the 20th century. His work is noted for its stylistic and technical achievements, its engagement with moral and political issues, and its variety of tone, form and content. The central themes of his poetry are love, politics and citizenship, religion and morals, and the relationship between unique human beings and the anonymous, impersonal world of nature. Auden grew up in Birmingham in a professional middle class family and read English literature at Christ Church, Oxford. His early poems, written in the late 1920s and early 1930s, alternated between telegraphic modern styles and fluent traditional ones, were written in an intense and dramatic tone, and established his reputation as a left-wing political poet and prophet. He became uncomfortable in this role in the later 1930s, and abandoned it after he moved to the United States in 1939, where he became an American citizen in 1946. His poems in the 1940s explored religious and ethical themes in a less dramatic manner than his earlier works, but still combined traditional forms and styles with new forms devised by Auden himself. In the 1950s and 1960s many of his poems focused on the ways in which words revealed and concealed emotions, and he took a particular interest in writing opera librettos, a form ideally suited to direct expression of strong feelings.




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