Je faisais ces Sonnets en l’Antre… Quand on vit les Français sous le… Quand on vit tout le peuple en fur… Quand Bellonne sanglante allait d… Quand au lieu de la loi, le vice,…

Meschantes nuicts d’hyver, nuicts… Que la Terre engendra, d’Encelade… Serpentes d’Alecton et fureur des… N’approchez de mon lict, ou bien t… Que fait tant le soleil au giron d…

J’ai l’âme, pour un lit, de regret… Que nul homme jamais ne fera que j… De la chambre amoureuse, encore mo… Où je vis ma maîtresse, au mois de… Un somme languissant la tenait mi-…

Je suis homme né pour mourir, Je suis bien seur que du trespas Je ne me sçaurois secourir Que poudre je n’aille là-bas. Je cognois bien les ans que j’ay,

Quand au temple nous serons Agenouillés, nous ferons Les dévots selon la guise De ceux qui pour louer Dieu Humbles se courbent au lieu

Plus mille fois que nul or terrien… J’aime ce front où mon tyran se jo… Et le vermeil de cette belle joue, Qui fait honteux le pourpre Tyrie… Toutes beautés à mes yeux ne sont…

En mon cœur n’est point escrite La rose ny autre fleur, C’est toy, blanche Marguerite, Par qui j’ay cette couleur. N’es-tu celle dont les yeux

L’inimitié que je te porte, Passe celle, tant elle est forte, Des aigneaux et des loups, Vieille sorcîere deshontée, Que les bourreaux ont fouëttée

Je plante en ta faveur cet arbre d… Ce Pin, où tes honneurs se liront… J’ai gravé sur le tronc nos noms e… Qui croîtront à l’envie de l’écorc… Faunes, qui habitez ma terre pater…

Quand je pense à ce jour, où je la… Toute flamber d’amour, d’honneur e… Le regret, comme un trait mortelle… Me traverse le coeur d’une playe e… Alors que j’esperois la bonne grac…

Naguiere chanter je voulois Comme Francus au bord Gaulois Avecq’ sa troupe vint descendre, Mais mon luc pinçé de mon doi, Ne vouloit en dépit de moi

Au mois d’avril, quand l’an se ren… L’aube ne sort si fraîche de la me… Ni hors des flots la déesse (1) d’… Ne vint à Cypre en sa conque si b… Comme je vis la beauté que j’appel…

Chanson IV. Plus étroit que la vigne à l’Orme… De bras souplement forts, Du lien de tes mains, maîtresse, j… Enlace-moi le corps.

Celle, de qui l’Amour vainquit la… Que Jupiter conçut sous un Cygne… Cette sœur des Jumeaux, qui fit p… Opposer toute Europe aux forces d… Disait à son mirouer (1), quand el…

Marie, levez-vous, ma jeune paress… Là, la gaie alouette au ciel a fre… Et là le rossignol doucement jargo… Dessus l’épine assis, sa complaint… Sur ! debout ! allons voir l’herbe…