Ce Chasteau-neuf, ce nouvel edifi… Tout enrichy de marbre et de porph… Qu’Amour bastit chasteau de son e… Où tout le Ciel a mis son artific… Est un rempart, un fort contre le…

Quiconque a peint Amour, il fut i… Non le faisant enfant chargé de tr… Non luy chargeant les mains de fla… Mais bien d’un double crespe envel… Amour hait la clarté, le jour m’es…

Amour tu sembles au phalange qui p… Lui de sa queue, et toi de ta quad… De tous deux est la pointure morte… Qui rampe au coeur, et si n’aparoi… Sans souffrir mal tu me conduis au…

Je faisais ces Sonnets en l’Antre… Quand on vit les Français sous le… Quand on vit tout le peuple en fur… Quand Bellonne sanglante allait d… Quand au lieu de la loi, le vice,…

Ha ! que je porte et de haine et d… Au médecin qui vient soir et matin Sans nul propos tâtonner le tétin, Le sein, le ventre et les flancs d… Las ! il n’est pas si soigneux de…

Chanson XV. Quand ce beau printemps je vois, J’aperçois Rajeunir la terre et l’onde, Et me semble que le jour

Pourquoi, comme une jeune Poutre, De travers guignes-tu vers moi ? Pourquoi, farouche, fuis-tu outre, Quand je veux approcher de toi ? Tu ne veux pas que l’on te touche,

(En lui envoyant le livre d’Amour… Là du prochain Hiver je prévois l… Là cinquante et six ans ont neigé… II est temps de laisser les vers… Et de prendre congé du plus beau d…

Marie, que je sers en trop cruel d… Quand d’un baiser d’amour votre bo… Je suis tout éperdu, tant le coeur… Entre vos doux baisers puissé-je p… Il sort de votre bouche un doux fl…

Pour boire dessus l’herbe tendre Je veux sous un laurier m’étendre, Et veux qu’Amour, d’un petit brin Ou de lin ou de chènevière Trousse au flanc sa robe légère,

Chanson. Voulant, ô ma douce moitié, T’assurer que mon amitié Ne se verra jamais finie, Je fis, pour t’en assurer mieux

Soit que son or se crêpe lentement Ou soit qu’il vague en deux glissa… Qui çà, qui là par le sein vagabon… Et sur le col, nagent folâtrement… Ou soit qu’un noeud illustré riche…

Ce beau corail, ce marbre qui soup… Et cet ébène ornement du sourcil, Et cet albâtre en voûte raccourci, Et ces saphirs, ce jaspe et ce por… Ces diamants, ces rubis qu’un Zép…

Si d’un mort qui pourri repose Nature engendre quelque chose, Et si la generation Se fait de la corruption, Une vigne prendra naissance

Quand ces beaux yeux jugeront que… Avant mes jours me bannissant là b… Et que la Parque aura porté mes p… A l’autre bord de la rive meilleur… Antres et près, et vous forêts, à…