Ah ! longues nuicts d’hyver, de ma… Donnez-moy patience, et me laissez… Vostre nom seulement, et suer et f… Me fait par tout le corps, tant vo… Le sommeil tant soit peu n’évente…

Je ne suis seulement amoureux de… Anne me tient aussi dans les liens… Ore l’une me plaît, ore l’autre à… Ainsi Tibulle aimait Némésis, et… On me dira tantôt que c’est une fo…

Laisse-moi sommeiller, Amour ! Ne te suffit-il que de jour Les yeux trop cruels de ma dame Me tourmentent le corps et l’âme, Sans la nuit me vouloir ainsi

Je veux mourir pour tes beautés,… Pour ce bel oeil, qui me prit à so… Pour ce doux ris, pour ce baiser t… D’ambre et de musc, baiser d’une… Je veux mourir pour cette blonde t…

Si je trépasse entre tes bras, Ma… Il me suffit, car je ne veux avoir Plus grand honneur, sinon que de m… En te baisant, dans ton sein rendr… Celui que Mars horriblement enfla…

Si seulement l’image de la chose Fait à noz yeux la chose concevoir… Et si mon oeil n’a puissance de vo… Si quelqu’idole au devant ne s’opp… Que ne m’a fait celuy qui tout com…

Une beauté de quinze ans enfantine… Un or frisé de maint crêpe anelet, Un front de rose, un teint damoise… Un ris qui l’âme aux Astres achem… Une vertu de telles beautés digne,

Donne moy tes presens en ces jours… Fait les plus courts de l’an, ou d… Dans le ruisseau d’Oubly dessus m… Endor mes pauvres yeux, mes goutte… Misericorde ô Dieu, ô Dieu ne me…

Dedans des Prez je vis une Dryade… Qui comme fleur s’assisoyt par les… Et mignotoyt un chappeau de couleu… Echevelée en simple verdugade. Des ce jour là ma raison fut malad…

Si d’un mort qui pourri repose Nature engendre quelque chose, Et si la generation Se fait de la corruption, Une vigne prendra naissance

Ma petite Nymphe Macée, Plus blanche qu’ivoire taillé, Plus blanche que neige amassée. Plus blanche que le lait caillé, Ton beau teint ressemble les lis

Par un destin dedans mon cœur deme… L’œil, et la main, et le poil déli… Qui m’ont si fort brûlé, serré, li… Qu’ars, pris, lassé, par eux faut… Le feu, la serre et le rets (1), à…

Ha ! que je porte et de haine et d… Au médecin qui vient soir et matin Sans nul propos tâtonner le tétin, Le sein, le ventre et les flancs d… Las ! il n’est pas si soigneux de…

T’oseroit bien quelque poète Nyer des vers, douce alouette ? Quant à moy je ne l’oserois, Je veux celebrer ton ramage Sur tous oyseaus qui sont en cage,