"Chair (1896)"
#ÉcrivainsFrançais
Je vous ai promis mon baiser pour… En revanche vous m’avez promis la… Certes imméritée, et voici que j’y… Et depuis lors je vis en un si dou… Mais que pour l’avenir serait donc…
Ils me disent que tu es blonde Et que toute blonde est perfide, Même ils ajoutent “ comme l’onde ”… Je me ris de leur discours vide ! Tes yeux sont les plus beaux du mo…
Tu fus une grande amoureuse À ta façon, la seule bonne Puisqu’elle est tienne et que pers… Plus que toi ne fut malheureuse, Après la crise de bonheur
Écoutez la chanson bien douce Qui ne pleure que pour vous plaire… Elle est discrète, elle est légère… Un frisson d’eau sur de la mousse… La voix vous fut connue (et chère…
Je suis l’Empire à la fin de la d… Qui regarde passer les grands Bar… En composant des acrostiches indol… D’un style d’or où la langueur du… L’âme seulette a mal au coeur d’un…
L’ennemi se déguise en l’Ennui Et me dit : « A quoi bon, pauvre… Moi je passe et me moque de lui. L’ennemi se déguise en la Chair Et me dit : « Bah, bah, vive une…
Nous sommes en des temps infâmes Où le mariage des âmes Doit sceller l’union des cœurs ; À cette heure d’affreux orages, Ce n’est pas trop de deux courages
Comme un vol criard d’oiseaux en é… Tous mes souvenirs s’abattent sur… S’abattent parmi le feuillage jaun… De mon cœur mirant son tronc plié… Au tain violet de l’eau des Regre…
Jusques aux pervers nonchaloirs De ces yeux noirs, Jusques, depuis ces flemmes blanch… De larges hanches Et d’un ventre et de beaux seins
J’allais par des chemins perfides, Douloureusement incertain. Vos chères mains furent mes guides… Si pâle à l’horizon lointain Luisait un faible espoir d’aurore…
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays e… Du moins as-tu cueilli l’ennui, pu… Toi que voilà fumant de maussades… Noir, projetant une ombre absurde… Tes yeux sont aussi morts depuis l…
Les courses furent intrépides (Comme aujourd’hui le repos pèse !… Par les steamers et les rapides. (Que me veut cet at home obèse ?) Nous allions,—vous en souvient-il,
J’ai fait ces vers qu’un bien indi… bien indigne, après tant de grâces… Lâchement, salement, froidement pi… Par mes pieds de pécheur, de vil e… J’ai fait ces vers, Seigneur, à v…
—L’abbé divague.—Et toi, marquis, Tu mets de travers ta perruque. —Ce vieux vin de Chypre est exqui… Moins, Camargo, que votre nuque. —Ma flamme ...—Do, mi, sol, la, s…
Petit Jésus qu’il nous faut être, Si nous voulons voir Dieu le Père… Accordez-nous d’alors renaître En purs bébés, nus, sans repaire Qu’une étable, et sans compagnie