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#ÉcrivainsFrançais
La cathédrale est majestueuse Que j’imagine en pleine campagne Sur quelque affluent de quelque M… Non loin de l’Océan qu’il regagne… L’Océan pas vu que je devine
Car mon cœur, jamais fatigué D’être ou du moins de le paraître, Quoi qu’il en soit, s’efforce d’êt… Ou de paraître fol et gai. Mais, mieux que de chercher fortun…
L’amour est infatigable ! Il est ardent comme un diable, Comme un ange il est aimable. L’amant est impitoyable, Il est méchant comme un diable,
Je suis né romantique et j’eusse é… En un frac très étroit aux boutons… Avec ma barbe en pointe et mes che… Hablant español, très loyal et trè… L’œil idoine à l’œillade et chargé…
Amour qui ruisselais de flammes et… Qu’est devenu ce temps, et comme e… La constance sacrée au chrême des… Elle ressemble une putain dont les… Empliraient cent bidets de futurs…
L’indulgence qui n’est pas de l’in… Et qui n’est pas non plus de la fa… De la paresse, pour un devoir défi… Monitoire au plaisir, bénin à la s… Non plus le scepticisme et ni préj…
J’ai peur d’un baiser Comme d’une abeille. Je souffre et je veille Sans me reposer : J’ai peur d’un baiser !
Un pavillon à claires-voies Abrite doucement nos joies Qu’éventent des rosiers amis ; L’odeur des roses, faible, grâce Au vent léger d’été qui passe,
On n’offense que Dieu qui seul pa… On centriste son frère, on l’affli… On fait gronder sa haine ou pleure… Et c’est un crime affreux qui va t… Des simples, et donner au monde sa…
Murs blancs, toit rouge, c’est l’… Du grand chemin poudreux où le pie… L’Auberge gaie avec le Bonheur po… Vin bleu, pain tendre, et pas beso… Ici l’on fume, ici l’on chante, ic…
Le coucher d’un soleil de septembr… La plaine morne et l’âpre arête de… Et de la brume au loin l’installat… Le Guadarrama pousse entre les sa… Son flot hâtif qui va réfléchissan…
La vie humble aux travaux ennuyeux… Est une œuvre de choix qui veut be… Rester gai quand le jour triste su… Être fort, et s’user en circonstan… N’entendre, n’écouter aux bruits d…
Puis, déjà très anciens, Des songes de souvenirs, Si doux nécromanciens D’encor pires avenirs : Une fille, presque enfant,
« Tu m’ostines ! »—« Et je t’emmè… A la campagne. » Ainsi parlaient Deux amoureux dont s’éperlaient Plus d’un encor propos amène. Je crains fort que ces amoureux
Rôdeur vanné, ton œil fané Tout plein d’un désir satané Mais qui n’est pas l’œil d’un bélî… Quand passe quelqu’un de gentil Lance un éclair comme une vitre.