Paul-Jean Toulet

Si ta grande ombre, ô Moréas

Si ta grande ombre, ô Moréas,
Revient aux cabarets des Halles
Parmi les filles de trois balles
Et leurs gitons complets à l’as,
Puissé-je au soir d’un beau Dimanche,
Près de l’homme à la souris blanche,
À l’Ange ou dans l’affreux Caveau,
Entendre encor ta voix cuivrée
Telle, de sagesse enivrée,
Une cigale, au renouveau.
Vous avez aimé cette lecture ? Offrez-nous un café !.
Votre aide nous permet d'exister.
Autres oeuvres par Paul-Jean Toulet...



Haut