Poésies livre III
#ÉcrivainsFrançais
Au nom du roi Louis XIII. À l’occasion de la première guerre… 1614. Les funestes complots des âmes for… Qui pensaient triompher de mes jeu…
FRAGMENT. 1604. . . . . . .… L’Orne comme autrefois nous rever… Ravis de ces pensers que le vulgai…
(Écrit à Fontainebleau, x<… 1608. Beaux et grands bâtiments d’éterne… Superbes de matière, et d’ouvrages…
(À l’occasion de la goutte dont He… fut attaqué au mois de janvier 160… Quoi donc ! c’est un arrêt qui n’é… Que rien n’est ici-bas heureux par… Et qu’on ne peut au monde avoir co…
Chantée au ballet du triomphe de… 1615. Cette Anne si belle, Qu’on vante si fort, Pourquoi ne vient-elle ?
Fragments d’une ode. 1623 ou 1624. Grand et grand prince de l’église, Richelieu, jusques à la mort, Quelque chemin que l’homme élise,
Stances sur la mort de sa fille. 1599. Ta douleur, Du Perrier, sera donc… Et les tristes discours Que te met en l’esprit l’amitié pa…
x<… 1608. Quel astre malheureux ma fortune a… À quelles dures lois m’a le Ciel a… Que l’extrême regret ne m’ait poin…
(Sous le nom de Rodanthe.) 1622 ou 1623. Chère beauté que mon âme ravie Comme son pôle va regardant, Quel astre d’ire et d’envie
(Pour M. de La Ceppède, premier… Des Comptes de Provence, au sujet… Spirituels sur la vie et la passio… 1612. J’estime La Ceppède, et l’honore,…
1604. Ô Sagesse éternelle, à qui cet uni… Doit le nombre infini des miracles… Qu’on voit également sur la terre… Mon Dieu, mon Créateur,
Ceux-ci, de qui vos yeux admirent… Pour un fameux honneur qu’ils brûl… Partis des bords lointains d’une t… S’en vont au gré d’Amour tout le… Ce grand démon, qui se déplaît
(À la vicomtesse d’Auchy.) 1608. Caliste, en cet exil j’ai l’âme si… Qu’au tourment que je souffre il n… Et ne saurais ouïr ni raison ni co…
Pour le comte de Charny, qui souh… Mademoiselle de Castille, qu’il é… 1619. Enfin ma patience et les soins que… Ont, selon mes souhaits, adouci le…
1609. Que l’honneur de mon prince est ch… Que le démon est grand qui lui ser… Et que visiblement un favorable so… Tient ses prospérités l’une à l’au…