Je n’ai jamais compris l’ambition.… Que l’homme simple trouve en lui s… Et le modeste sort dont je suis en… Si je travaille bien et si je devi… Sans que mon cœur de luxe ou de gl…

Sous l’œil de la louve d’airain, Ne t’endors pas indifférente. Ranime la flamme mourante, Vestale, songe au feu divin. Car, s’il devait s’éteindre enfin,

Sur un fond d’or pâli, les saints… Qu’un plomb noir délimite en dessi… Croisant les bras, levant au ciel… Marc, brun, près du lion ; Mathie… Et Jean, tout rose, avec l’oiseau…

Je pris le bateau-mouche au bas du… Et sur un banc devant le public tr… – Ô naïve impudeur ! ô candide ind… Je vis un ouvrier avec sa connaiss… Qui se tenaient les mains, malgré…

Par les branches désordonnées Le coin d’étang est abrité, Et là poussent en liberté Campanules et graminées. Caché par le tronc d’un sapin,

Frissonnant jusque dans la moelle, Pelé, funèbre et moribond, Le vieux singe, près de son poêle, Tousse en râlant et se morfond. Composant, malgré sa détresse,

J’ai dit au ramier : « Pars ! et… Au delà des champs d’avoine et de… Me chercher la fleur qui fera qu’o… Le ramier m’a dit : « C’est trop… Et j’ai dit à l’aigle : « Aide-mo…

Sous les pleurs du jet d’eau qui b… Armide étreint les flancs du héros… Près d’Ares, qui de sang ruissell… Mêle ses fins cheveux aux crins ru… Donc, ô femme, toujours ton capric…

Le silence imposant et la nuit sol… Planent sur le rempart où, debout… Le mousqueton au bras, veille une… Auprès d’un gros canon tourné vers… Le fort est un de ceux qui virent…

Sur la route en linceul changée Par deux longs mois de vent du nor… La petite passe, chargée De son lourd fagot de bois mort. Comme l’horizon s’illumine

On jouait un opéra-bouffe. C’est le nom qu’on donne aujourd’h… Aux farces impures dont pouffe Notre siècle si fier de lui. On riait très fort. La machine

Du Volga sur leurs bidets grêles Les durs Baskirs vont arriver. Avril est la saison des grêles, Et les balles vont le prouver. Les neiges ont fini leurs fontes,

Obsédé par ces mots, le veuvage et… Mon rêve n’en veut pas d’autres po… Cette mélancolie immense et monoto… Qui m’ôte tout espoir et tout dési… Il évoque sans cesse une très-long…

Triste exilé, qu’il te souvienne Combien l’avenir était beau, Quand sa main tremblait dans la ti… Comme un oiseau, Et combien ton âme était pleine

Ô siècle ! ceux qui sont trop gran… Et tes deux meilleurs fils échoués… Y vivent, sans se plaindre et sans… Seuls avec leur passé, leur génie… L’Histoire, un jour, voyant se dr…