Par les branches désordonnées Le coin d’étang est abrité, Et là poussent en liberté Campanules et graminées. Caché par le tronc d’un sapin,

L’homme, en manches de veste et, s… A cause du soleil, ayant mis son m… Tire gaillardement la petite voitu… Pour faire prendre l’air à sa prog… Deux bébés, l’un qui dort, l’autre…

Parfois un caprice te prend, Méchante amie, et tu me boudes, Et sur le balcon tu t’accoudes Malgré l’eau qui tombe à torrent. Mais, vois-tu ! Mars, avec ses gr…

Le silence imposant et la nuit sol… Planent sur le rempart où, debout… Le mousqueton au bras, veille une… Auprès d’un gros canon tourné vers… Le fort est un de ceux qui virent…

En mai, par une pure et chaude apr… Je cheminais au bord d doux fleuve… Où se réfléchissait la fuite d’un… Je suivais lentement le chemin de… Tout en fleurs, qui descend en pen…

Neuf heures. On entend la retrait… Les grisettes s’en vont du côté de… Après avoir fini la tâche journali… C’est comme un coup de pied dans u… En waterproof, avec le petit sac d…

Je n’ai jamais compris l’ambition.… Que l’homme simple trouve en lui s… Et le modeste sort dont je suis en… Si je travaille bien et si je devi… Sans que mon cœur de luxe ou de gl…

Quand ils vinrent louer deux chamb… Le portier, d’un coup d’œil plein… Comprit tout et conclut : – C’est… Le garçonnet, avec ses yeux intell… Était gai d’être en deuil, car sa…

L’espoir divin qu’à deux on parvie… Et qu’à deux on partage, L’espoir d’aimer longtemps, d’aime… Chaque jour davantage ; Le désir éternel, chimérique et to…

Tout vit, tout aime ! et moi, tris… Ainsi qu’un arbre mort sur le ciel… Je ne peux plus aimer, moi qui n’a… Et je viens de quitter sans regret… Je suis comme un malade aux penser…

On n’a pu l’emmener qu’à la derniè… C’était son premier bal, songez !… De sa mère a cédé jusqu’au bout au… De la voir, embellie encor par le… Résister du regard au doigt qui lu…

C’est l’aurore et c’est l’avril, Lui dit-il, Viens, la rosée étincelle. –Le vallon est embaumé : Viens, c’est mai

Si chétive, une haleine, une âme, L’orpheline du porte-clés Promenait dans la cour infâme L’innocence en cheveux bouclés. Elle avait cinq ans ; son épaule

Souvent, lorsque la main sur les y… Elle m’apparaît, svelte &amp ; la… Avec ses blonds cheveux coupés cou… Trouverai-je jamais des mots qui l… La chère vision que malgré moi j’a…

Ô siècle ! ceux qui sont trop gran… Et tes deux meilleurs fils échoués… Y vivent, sans se plaindre et sans… Seuls avec leur passé, leur génie… L’Histoire, un jour, voyant se dr…