Le cahier rouge (1892)
#ÉcrivainsFrançais
Pâle sous la céruse et les cheveux… L’illustre premier rôle encor jeun… L’homme à femmes, malgré son âge a… Obtient, comme au beau temps, des… Et, depuis des milliers et des mil…
Ma mémoire vous aime et vous sera… Source à qui je devrai ma santé d’… Monts altiers, gaves purs, et toi,… Qui dresses dans l’azur ta haute c… Mais la charmante enfant qui m’adm…
En vain je cherche un mot charmant… Un mot qui réunisse en sa simplici… Votre blanche jeunesse et votre pu… Aucun ne me contente et ne m’en se… Il en est de bien doux pourtant qu…
La douleur aiguise les sens, —Hélas ! ma mignonne est partie !— Et dans la nature je sens Une secrète sympathie. Je sens que les nids querelleurs
Hélas ! la chimère s’envole Et l’espoir ne m’est plus permis ; Mais je défends qu’on me console. Ne me plaignez pas, mes amis. J’aime ma peine intérieure
Dans la maison aux murs par les li… Le cher aïeul défunt, bien souvent… Le père me témoigne une amitié par… Des deux mamans aussi je sens les… Fille de mes amis, ô belle Anna T…
Sous le bandeau trop lourd pour so… Assise sur un trône aux longs ride… Où l’orgueil brodé d’or des blason… Couverte de lampas et d’antique de… Blanche aux longs cheveux noirs, a…
Maître, l’envieux n’a pu satisfair… Sur toi son cruel et lâche désir. Ton nom restera pareil à la sphère… Qui n’a pas de point par où la sai… Pourtant il fallait nier quelque c…
Pleins de corbeaux et d’angélus, Les clochers dont le doigt de pier… Montrait sa route à la prière, N’avaient que cent mètres au plus. Des hommes hardis sont venus
Paris, certes, est une merveille ; Mais, s’il pouvait avoir Vos yeux de diamant noir, Il serait un petit Marseille.
J’ai crié dans la solitude : « Mon chagrin sera-t-il moins rude… Un jour, quand je dirai son nom ?… Et l’écho m’a répondu : « Non. » « Comment vivrai-je, en la détress…
(Pour le jour de son mariage) Poète de vingt ans, je t’ai vue au… Qu’elle est loin, la chanson du P… Que de feuillets tournés du livre… De celui de ce jour lirai-je le ve…
Parfois un caprice te prend, Méchante amie, et tu me boudes, Et sur le balcon tu t’accoudes Malgré l’eau qui tombe à torrent. Mais, vois-tu ! Mars, avec ses gr…
Quand ils vinrent louer deux chamb… Le portier, d’un coup d’œil plein… Comprit tout et conclut : – C’est… Le garçonnet, avec ses yeux intell… Était gai d’être en deuil, car sa…
Rougissante et tête baissée, Je la vois me sourire encor. —Pour le doigt de ma fiancée Qu’on me fasse un bel anneau d’or. Elle part, mais bonne et fidèle ;