Le bois dormant (1900)
#ÉcrivainsFrançais
Sans qu’il t’en coûte rien, Lucy, Que l’humble dépense d’un geste, Veux-tu dans ta demeure agreste Couler des jours francs de souci ? Chaque matin, à la seconde
J’ai vécu. Ce n’est pas que la mo… Mais en sondant mon cœur j’ai vu q… La fleur de poésie était toujours… Dieu bon ! et que jamais sur sa ti… N’avaient autant germé de boutons…
Nous sommes partis ce matin, Sans savoir où, pédétentin, Au diable ! J’en étais moi-même effaré, Tant la route avait un air e–
Je compare vos yeux à ces claires… Où les astres d’argent et les étoi… Font miroiter, la nuit, des flamme… Vienne à glisser le vent sur leur… Il faut que l’astre émigre et que…
LUI Qui donc es-tu, toi qui ressembles… Et dont les yeux ont l’air de sole… Dans le val de Tristesse où mes p… Tes soupirs et les miens ne se son…
Les Bretonnes au cœur tendre Pleurent au bord de la mer ; Les Bretons au cœur amer Sont trop loin pour les entendre. Mais vienne Pâque ou Noël,
Puisque je sais que vous m’aimez, Je n’ai pas besoin d’autre chose. Mes maux seront bientôt calmés, Puisque je sais que vous m’aimez Et que j’aurai les yeux fermés
Jolis rayons d’aube, entrez dans m… Elle a tant besoin de revoir le jo… —Sait-on ce qui dort dans des yeux… Si c’est la colère ou si c’est l’a… Ô rayons jolis, sous votre caresse…
Tandis que la Nuit monte ainsi qu… Sur les grèves du ciel silencieuse… Emplis tes yeux profonds de sa spl… Et ton cœur orageux de son apaisem… Déjà, comme une nef, le croissant…
Les marins ont dit aux oiseaux de… Nous allons bientôt partir pour l’… Quand le vent du Nord sera moins… Et quand le printemps fleurira la… Et les bons oiseaux leur ont répon…
Comme je n’ai pu vous celer Le vieux péché qui me harcèle, Ô mon âme, vous faites celle Qui ne veut pas se consoler. Et vous dites : « La bête immonde
Puisque le hasard m’y ramène, Pour mon malheur ou pour mon bien, Je veux que tu saches combien Ma maîtresse fut inhumaine. Pour l’oublier, j’ai tour à tour
Le marais dort, crispé d’un gel ta… Dans la brume qui s’épaissit et se… Tour à tour, la Sologne étend sa… Nous sommes là depuis une heure, l… Et tout à coup, tandis qu’une étoi…
C’est Marivône Le Guînver, Avec ses coiffes de batiste, C’est Marivône Le Guînver Qui passe sa vie à rêver. Marivônic, Dieu vous assiste
Sur la lande et dans les taillis, Cueillez l’ajonc et la bruyère, Doux compagnons à l’âme fière, Ô jeunes gens de mon pays ! * * * * * *